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COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 

Les Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique pour l’impact sur le développement (CEA Impact) se réunissent pour examiner le projet à mi-parcours et renforcer la mise en œuvre et l’efficacité du projet.

  6e Atelier Régional du CEA Impact se tiendra virtuellement du 8 au 11 novembre 2021.

 

Accra, Ghana (28 octobre 2021) – Le Sixième  Atelier Régional Biannuel des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique pour l’impact sur le développement (CEA Impact) se tiendra du 8 au 11 novembre 2021. La réunion rassemblera les cinquante-trois (53) centres d’excellence, les représentants des gouvernements des pays participants, les vice-chanceliers, les représentants du secteur de l’enseignement supérieur, le secteur privé, les groupes de réflexion politique, et les partenaires tels que la Banque mondiale, l’Agence Française de Développement et l’Association des Universités Africaines ainsi que d’autres parties prenantes clés.

Depuis son lancement en 2019, le projet CEA Impact a enregistré des succès remarquables dans l’amélioration de la qualité de l’enseignement post-universitaire dans les institutions  d’enseignement supérieur de la sous-région, y compris Djibouti.  Le projet étant arrivé à miparcours, cet atelier présentera l’occasion unique de discuter des questions critiques qui ont émergé lors du processus d’examen à mi-parcours. L’atelier se concentrera sur l’échange de points de vue concernant les principales réalisations du projet et son statut général, ainsi que sur l’obtention d’un retour d’information précieux et de solutions pratiques pour l’avancement et le développement du projet au cours de la prochaine moitié de sa mise en œuvre.

Les centres auront l’opportunité de partager leurs expériences et de se mettre en réseau afin de favoriser les collaborations pour la durabilité du projet. Cette opportunité garantit la réalisation de l’objectif global du projet – améliorer la qualité, la quantité et l’impact sur le développement de l’enseignement supérieur en Afrique par la spécialisation et la collaboration régionales.

 

De manière générale, les principaux domaines d’intérêt de l’atelier seront les suivants :

  1. Mise à jour des progrès et domaines prioritaires clés.

 

  1. Examen à mi-parcours (EMP) – offre aux parties prenantes du projet l’occasion de revoir ensemble l’efficacité de la conception et de la mise en œuvre du projet et de résoudre les goulets d’étranglement opérationnels.
  • Faits saillants sur les activités liées au suivi et à l’évaluation – Vérification des indicateurs liés aux décaissements (ILD), mises à jour sur l’impact sur le développement, et l’entrepreneuriat et l’innovation.
  1. Mise à jour sur les initiatives de mise en réseau – Réseaux thématiques Inter-CEA; Partenariat pour les compétences en sciences appliquées, ingénierie et technologie (PASET); Initiative des Centres de Compétences en Éducation Numérique (C-CoDE) – une initiative visant à promouvoir l’intégration durable de l’éducation numérique dans les processus d’enseignement.
  2. Sessions parallèles sur le suivi et l’évaluation, la gestion financière et le décaissement, la passation de marchés et les sauvegardes.

 

Avant l’atelier, une réunion ministérielle à huis clos aura lieu le 8 novembre 2021. Les ministres de l’éducation des 10 pays participants, ainsi que les partenaires du projet, se réuniront pour fournir des conseils sur la mise en œuvre réussie et la durabilité du projet. La séance d’ouverture aura lieu le mardi 9 novembre 2021 à 10h00.

Le projet CEA Impact reste dédié au renforcement des capacités des 53 centres à dispenser une éducation de qualité et à produire les solutions aux besoins de développement du continent.

Toutes les parties prenantes du CEA Impact sont invitées à participer activement à cet atelier.

 

Pour plus d’informations sur le projet  CEA Impact, visitez le site https://ace.aau.org/.

 

–  FIN –

 

 

Note aux rédacteurs

Pour de plus amples informations, veuillez contacter Mme Millicent Afriyie Kyei à l’adresse électronique makyei@aau.org.

 

Informations générales :  

Le projet de Centres d’Excellence pour l’Enseignement Supérieur en Afrique (CEA) est une initiative de la Banque mondiale en collaboration avec les gouvernements des pays participants pour soutenir les institutions d’enseignement supérieur spécialisés dans les domaines des Sciences, de la Technologie, de l’Ingénierie et des Mathématiques (STEM), de l’Agriculture et de la Santé. Il s’agit du premier projet de la Banque mondiale visant à renforcer les capacités des institutions d’enseignement supérieur en Afrique. La première phase (CEA I) a été lancée en 2014 avec 22 centres d’excellence dans neuf (9) pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre ; Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Nigeria, Sénégal et Togo. Le projet vise à promouvoir la spécialisation régionale des universités participantes dans des domaines qui répondent à des défis de développement régionaux communs spécifiques. Il vise également à renforcer les capacités de ces universités à dispenser une formation et une recherche appliquée de haute qualité et à répondre à la demande de compétences nécessaires au développement de l’Afrique. La deuxième phase (CEA II) a été lancée en Afrique orientale et australe avec 24 centres répartis en Éthiopie, au Kenya, au Malawi, au Mozambique, au Rwanda, en Tanzanie, en Ouganda et en Zambie.

Sur la base des premiers succès, la Banque mondiale et l’Agence Française de Développement (AFD), en collaboration avec les gouvernements africains, ont lancé en 2018 le projet CEA Impact pour renforcer la formation post-universitaire et la recherche appliquée dans les domaines existants et soutenir de nouveaux domaines essentiels à la croissance économique de l’Afrique. Il existe 43 CEA (25 nouveaux et 18 issus de CEA I); 5 centres émergents;1 centre « top up » en gestion des risques sociaux; et 5 collèges et écoles d’ingénieurs. Les nouveaux domaines comprennent les villes durables; l’énergie et l’électricité durables; les sciences sociales et l’éducation; le transport; la santé et la politique de la population; le développement de la phytothérapie et les sciences réglementaires; la santé publique; l’informatique appliquée et la communication; et la production pastorale.

 

 INFORMATIONS SUR LES ORGANISATEURS

  • A propos de l’Association des Universités Africaines (AUA): L’Association des Universités Africaines est une organisation internationale non-gouvernementale à but non lucratif créée par des universités africaines pour promouvoir la coopération entre elles d’une part, et entre elles et la communauté universitaire internationale d’autre part. Créée en 1967, l’AUA est la voix de l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA vise à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur africain et à renforcer sa contribution au développement de l’Afrique en soutenant les fonctions essentielles des institutions d’enseignement supérieur et en facilitant la réflexion critique et la recherche de consensus sur les questions qui touchent l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA est l’Unité de Facilitation Régionale du projet des Centres d’excellence africains.

 

  • À propos du Groupe de la Banque mondiale: Le Groupe de la Banque mondiale est une institution multilatérale de développement qui œuvre à la réduction de la pauvreté. Sa filiale IDA (International Development Association) finance la série de projets des Centres d’Excellence pour l’Afrique. Créée en 1960, l’IDA aide les pays les plus pauvres du monde en fournissant des subventions et des prêts à taux d’intérêt faible ou nul pour des projets et des programmes qui stimulent la croissance économique, réduisent la pauvreté et améliorent la vie des pauvres. L’IDA est l’une des plus importantes sources d’aide pour les 75 pays les plus pauvres du monde, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’IDA apportent des changements positifs aux 1,5 milliard de personnes qui vivent dans les pays IDA. Depuis 1960, l’IDA a soutenu des travaux de développement dans 113 pays. Les engagements annuels se sont élevés en moyenne à environ 18 milliards de dollars au cours des trois dernières années, dont environ 54 % pour l’Afrique.

 

  • A propos de l’Agence Française de Développement :  Depuis plus de 75 ans, l’Agence Française de Développement (AFD) lutte contre la pauvreté dans le monde en soutenant les politiques et les investissements qui bénéficient aux populations les plus démunies. Le renforcement du lien social entre les individus, les groupes et les territoires sont désormais au cœur de ses actions en matière d’éducation, de santé, d’emploi, d’urbanisme, de climat ou de biodiversité. Pour l’AFD, le développement équilibré passe par une réelle réduction des inégalités.

 

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