COMMUNIOUÉ DE COMMUPRESSE

Pour diffusion immédiate 9 juillet 2021

L’AUA et l’EPFL lancent l’Initiative des Centres de Compétences en Éducation Numérique

Accra, Ghana, 9 juillet 2021 – L’Association des Universités Africaines, dans le cadre du Projet des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur Africains pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact), en collaboration avec l’EPFL – École polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse), a lancé l’Initiative des Centres de Compétence en Éducation Numérique (C-CoDE). L’AUA, en tant qu’unité de facilitation régionale du projet CEA Impact, utilise une partie de sa subvention régionale de l’Association Internationale de Développement (AD) de la Banque Mondiale pour financer les activités de cette initiative. L’EPFL, une université de technologie de classe mondiale en Suisse, est également un leader dans l’éducation numérique.

Six (6) universités d’accueil CEA Impact seront sélectionnées par concours et soutenues pour se renforcer et établir des centres de compétence en éducation numérique sur leurs campus afin de promouvoir l’intégration durable de l’éducation numérique dans les processus d’enseignement, comme moyen de renforcer la qualité de l’enseignement ainsi que les compétences des diplômés. L’initiative pilote fournira aux institutions participantes la formation et l’accompagnement nécessaires pour transformer leurs programmes d’enseignement en intégrant des méthodes modernes d’éducation numérique. Chaque université sélectionnée engagera une partie du financement de son (ses) projet(s) CEA Impact pour l’acquisition de l’équipement et des locaux nécessaires pour accueillir son C-CoDE. 30 professeurs, 3 ingénieurs pédagogiques et 2 spécialistes techniques seront formés dans chaque centre d’ici la fin du projet. Le projet pilote sera mis en oeuvre de septembre 2021 à juillet 2022.

Les centres sélectionnés contribueront à la conception, à la production et à la diffusion de cours en ligne ouverts et massifs (MOOC) et de Ressources Éducatives Libres (REL). L’objectif général est que les centres sélectionnés puissent servir d’autres institutions africaines en utilisant un modèle de formation des formateurs, dans le cadre du portefeuille de projets CEA Impact et au-delà, dans toute la région de l’Afrique Sub-Saharienne (ASS).

Note aux rédacteurs

Pour de plus amples informations, veuillez contacter le Dr Sylvia Mkandawire à l’adresse smkandawire@aau.org et envoyer une copie à M. Yann Kerloch à l’adresse yann.kerloch@epfl.ch.

Informations générales

Le projet de Centres d’Excellence de l’enseignement supérieur en Afrique (CEA) est une initiative de la Banque Mondiale en collaboration avec les gouvernements des pays participants pour aider les établissements d’enseignement supérieur à se spécialiser dans les domaines des Sciences, de la Technologie, de l’Ingénierie et des Mathématiques (STEM), de l’Agriculture et de la Santé. Le projet vise à promouvoir la spécialisation régionale des universités participantes dans des domaines qui répondent à des défis communs spécifiques de développement régional. Il renforce également les capacités de ces universités à dispenser une formation et une recherche appliquée de haute qualité et à répondre à la demande de compétences nécessaires au développement de l’Afrique. Sur la base des premiers succès, la Banque mondiale et l’Agence française de développement (AFD), en collaboration avec les gouvernements africains, ont lancé en 2018 le projet CEA Impact pour renforcer la formation post-universitaire et la recherche appliquée dans les domaines existants et soutenir de nouveaux domaines essentiels à la croissance économique de l’Afrique. Il existe 43 CEA (25 nouveaux et 18 issus du CEA 1); 5 centres émergents;l centre  » top up  » en gestion des risques sociaux; et 5 collèges et écoles d’ingénieurs.

A propos de I’Association des Universités Africaines (AUA)

L’Association des Universités Africaines est une organisation internationale non gouvernementale à but non lucratif créée par des universités africaines pour promouvoir la coopération entre elles d’une part, et entre elles et la communauté universitaire internationale d’autre part. Créée en 1967, I’AUA est la voix de l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA vise à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur africain et à renforcer sa contribution au développement de l’Afrique en soutenant les fonctions essentielles des établissements d’enseignement supérieur et en facilitant la réflexion critique et la recherche de consensus sur les questions qui touchent l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA est l’unité de facilitation régionale du projet des Centres d’excellence africains.

À propos du Groupe de la Banque Mondiale

Le Groupe de la Banque mondiale est une institution multilatérale de développement qui oeuvre à la réduction de la pauvreté. Sa filiale AID (l’Association Internationale de Développement) finance la série de projets des Centres d’excellence pour l’Afrique. Créée en 1960, l’AID aide les pays les plus pauvres du monde en accordant des subventions et des prêts à taux d’intérêt faible ou nul pour des projets et des programmes qui stimulent la croissance économique, réduisent la pauvreté et améliorent la vie des pauvres. L’ AID est l’une des plus importantes sources d’aide pour les 75 pays les plus pauvres du monde, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’AID apportent des changements positifs aux 1,5 milliard de personnes qui vivent dans les pays AID. Depuis 1960, l’AID a soutenu des travaux de développement dans 113 pays. Les engagements annuels se sont élevés en moyenne à environ 18 milliards de dollars au cours des trois dernières années, dont environ 54 % pour l’Afrique.

A propos de l’Agence Française de Développement

Depuis plus de 75 ans, l’Agence Française de Développement (AFD) lutte contre la pauvreté dans le monde en soutenant des politiques et des investissements qui bénéficient aux populations les plus démunies. Le renforcement du lien social entre les individus, les groupes et les territoires est désormais au coeur de ses actions en matière d’éducation, de santé, d’emploi, d’urbanisme, de climat ou de biodiversité. Pour l’AFD, le développement équilibré passe par une réelle réduction des inégalités.

À propos de l’EPFL (École polytechnique fédérale de Lausanne)

L’EPFL est l’université technique la plus cosmopolite d’Europe. Ses étudiants, ses professeurs et son personnel proviennent de plus de 120 nations. Fondée en 1853, l’École Spéciale de Lausanne a été rebaptisée École polytechnique fédérale de Lausanne en 1969. L’EPFL est une institution de recherche intensive spécialisée dans les sciences, les technologies et l’ingénierie, avec un accent particulier sur les sciences de la vie et les sciences numériques. C’est l’une des deux écoles polytechniques fédérales suisses, et elle a trois missions principales : l’éducation, la recherche et le transfert de technologie. L’EPFL est une université technologique bilingue (Français-Anglais) située sur les rives du lac Léman à Lausanne (Suisse). L’EPFL collabore avec un vaste réseau de partenaires, dont d’autres universités et instituts technologiques, des écoles secondaires et des collèges, l’industrie et l’économie, les milieux politiques et le grand public, afin d’avoir un impact réel sur la société.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE-Le 5eme Atelier Régional du CEA Impact se tiendra virtuellement, du 24 au 28 mai 2021

Pour publication immédiate

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Le projet « Centres d’Excellence d’Afrique de l’Enseignement Supérieur pour l’Impact du Développement » (CEA Impact) assure une croissance et une compétitivité durables en améliorant la qualité, la quantité et l’accès à l’Enseignement de troisieme Cycle.

Le 5eme Atelier Régional du CEA Impact se tiendra virtuellement, du 24 au 28 mai 2021.

Accra, Ghana (5 mai 2021) – Les Centres d’Excellence d’Afrique de l’Enseignement Supérieur pour l’Impact du Développement (CEA Impact) organiseront leur 5ème Atelier Régional biannual, du 24 au 28 mai 2021. Cinquante-trois (53) Centres d’Excellence et des parties prenantes clés, notamment des représentants gouvernementaux des pays participants, des Vice-chanceliers, des représentants du secteur de l’enseignement supérieur, du secteur privé, des groupes de réflexion sur les politiques, et des partenaires tels que la Banque Mondiale, l’Agence Française de Développement et l’Association des Universités Africaines sont attendus à cette réunion.

En tant que moteur de production de formations de troisieme cycle universitairede qualité et de recherche appliquée pour assurer une croissance inclusive et un développement durable en Afrique, le projet CEA Impact réunit ses parties prenantes pour passer en revue les activités et les progrès réalisés en vue d’atteindre son objectif primordial – améliorer la qualité, la quantité et l’impact du développement de l’enseignement postuniversitaire en Afrique.

La réunion donnera également aux Centres d’Excellence l’occasion de partager leurs expériences, de créer des réseaux et de forger des partenariats pour assurer la réussite de la mise en oeuvre et la durabilité du projet.

De manière générale, le programme de l’atelier comprendra les éléments suivants:
1. Progrès général enregistré dans la mise en oeuvre de CEA Impact et des domaines prioritaires clés.
2. Faits saillants du projet de réseau d’éducation numérique, qui vise à exploiter les progrès des technologies numériques pour l’éducation en vue de transformer les pratiques d’enseignement au profit des étudiants.
3. Initiatives de mise en réseau Inter – CEA Impact.
4. Engagement du projet CEA Impact avec le Partenariat pour les compétences en Sciences Appliquées, Ingénierie et Technologie (PASET), une initiative lancée par les gouvernements africains (avec la facilitation de la Banque mondiale).
5. Des sessions parallèles sur le Suivi et Evaluation, la gestion financière, la passation de marchés et les sauvegardes, ainsi qu’une session spéciale pour les Vice-chanceliers dont les institutions sont impliquées dans le projet.
6. Présentations d’apprentissage et de resultats de recherche par des étudiants entreprenant des recherches innovantes et transformationnelles dans les centres CEA Impact.

La réunion se focalisera également sur les prochaines étapes clés pour chaque pays, institution et centre dans la mise en oeuvre des plans de projet, et fournira des conseils aux centres pour mieux répondre aux exigences et aux objectifs de décaissement, fiduciaires et de sauvegarde.

Le projet CEA Impact invite toutes les parties prenantes clés à participer activement à cet atelier et à soutenir le projet, car il reste engagé dans la poursuite de son objectif général de renforcement de la formation postuniversitaire et de la recherche appliquée pour la transformation économique de l’Afrique.

– FIN –

Note aux Editeurs
Pour de plus amples informations, veuillez contacter Mme Felicia Kuagbedzi à l’adresse électronique fnkrumah@aau.org.

Informations générales:
Le projet de Centres d’Excellence d’Afrique de l’Enseignement Supérieur (CEA) est une initiative de la Banque Mondiale en collaboration avec les gouvernements des pays participants, pour soutenir les institutions d’enseignement supérieur spécialisés dans les domaines des Sciences, de la Technologie, de l’Ingénierie et des Mathématiques (STEM), de l’Agriculture et de la Santé. Il s’agit du premier projet de la Banque mondiale visant à renforcer les capacités des institutions d’enseignement supérieur en Afrique. La première phase (CEA I) a été lancée en 2014 avec 22 centres d’excellence dans neuf (9) pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre: Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Nigeria, Sénégal et Togo. Le projet vise à promouvoir la spécialisation régionale des universités participantes dans des domaines qui répondent à des défis de développement régionaux spécifiques communs. Il vise également à renforcer les
capacités de ces universités à dispenser une formation et une recherche appliquée de haute qualité, et à répondre à la demande de compétences nécessaires au développement de l’Afrique. La deuxième phase (CEA II) a été lancée en Afrique orientale et australe avec 24 centres répartis en Éthiopie, au Kenya, au Malawi, au Mozambique, au Rwanda, en Tanzanie, en Ouganda et en Zambie.

Sur la base des premiers succès, la Banque Mondiale et l’Agence Française de Développement (AFD), en collaboration avec les gouvernements africains, ont lancé en 2018 le projet CEA Impact pour renforcer la formation post-universitaire et la recherche appliquée dans les domaines existants et soutenir de nouveaux domaines qui sont essentiels pour la croissance économique de l’Afrique. Il y a 43 CEA (25 nouveaux et 18 du CEA I); 5 centres émergents; 1 centre « top up » en gestion des risques sociaux ; et 5 Collèges et Ecoles d’Ingénieurs. Les nouveaux domaines comprennent les villes durables, l’énergie durable, les sciences sociales et l’éducation, le transport, la santé et la politique de la population, le développement de la phytothérapie et les sciences réglementaires, la santé publique, l’informatique appliquée et la communication, et la production pastorale.

INFORMATIONS SUR LES ORGANISATEURS
• À propos de l’Association des Universités Africaines (AUA). L’Association des Universités Africaines est une organisation internationale non gouvernementale à but non lucratif, créée par des universités africaines pour promouvoir la coopération entre elles d’une part, et entre elles et la communauté universitaire internationale, d’autre part. Créée en 1967, l’AUA est la voix de l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA vise à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur africain et à renforcer sa contribution au développement de l’Afrique en soutenant les fonctions essentielles des institutions d’enseignement supérieur et en facilitant la réflection critique et la recherche de consensus sur les questions qui touchent l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA est l’unité régionale de facilitation du projet des Centres d’Excellence d’Afrique.

• À propos du Groupe de la Banque Mondiale. Le Groupe de la Banque Mondiale est une institution multilatérale de développement, qui oeuvre à la réduction de la pauvreté. Sa filiale IDA (International Development Association) finance la série de projets des Centres d’Excellence d’Afrique. Créée en 1960, l’IDA aide les pays les plus pauvres du monde en accordant des subventions et des prêts à taux d’intérêt faible ou nul pour des projets et des programmes qui stimulent la croissance économique, réduisent la pauvreté et améliorent la vie des pauvres. L’IDA est l’une des plus importantes sources d’aide pour les 75 pays les plus pauvres du monde, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’IDA apportent des changements positifs aux 1,5 milliard de personnes qui vivent dans les pays IDA. Depuis 1960, l’IDA a soutenu des travaux de développement dans 113 pays. Les engagements annuels se sont élevés en moyenne à environ 18 milliards de dollars au cours des trois dernières années, dont environ 54 % pour l’Afrique

• À propos de l’Agence Française de Développement. Depuis plus de 75 ans, l’Agence Française de Développement (AFD) lutte contre la pauvreté dans le monde en soutenant des politiques et des investissements qui bénéficient aux populations les plus démunies. Le renforcement du lien social entre les individus, les groupes et les territoires est désormais au coeur de ses actions en matière d’éducation, de santé, d’emploi, d’urbanisme, de climat
ou de biodiversité. Pour l’AFD, le développement équilibré passe par une réelle réduction des inégalités.

Appel à candidatures pour faire un doctorat en cyber sécurité au CEAATA

Appel à candidatures pour faire un doctorat en cyber sécurité au Centre d’Excellence de l’Afrique sur l’Apprentissage Technologique Amélioré (CEAATA), Université nationale ouverte du Nigéria.

Centre d’Excellence de l’Afrique sur l’Apprentissage Technologique Amélioré (CEAATA) de l’Université Nationale Ouverte du Nigeria a le plaisir d’inviter les candidats qualifiés et intéressés à demander une bourse d’études pour faire un doctorat en cyber sécurité en soumettant une proposition de recherche pour la thèse intitulée : « Une architecture sécurisée centrée sur les données de l’apprentissage numérique »

Contexte:

L’émergence de la pandémie du virus Corona (COVID 19) a incité plusieurs universités à travers le monde et en particulier en Afrique de l’Ouest, à passer à l’espace d’apprentissage numérique comme mode de prestation de services. En règle générale, un énorme volume de données sensibles est généré au cours de l’interaction en ligne entre les enseignants et les étudiants dans l’espace d’apprentissage numérique. Au cœur de ce mode d’apprentissage se trouvent les questions de gestion sécurisée des données et de mécanismes efficaces d’authentification et d’autorisation des utilisateurs. Cette participation accrue des écoles à l’espace d’apprentissage numérique a donné lieu à une forte exposition du volume massif de données sensibles à diverses formes de cyberattaques. Bien que les chercheurs aient conçu des architectures pour sécuriser les données dans l’espace d’apprentissage numérique, les architectures existantes ont été pourtant inefficaces pour protéger les données dans ce contexte. Par conséquent, cette recherche vise à concevoir et à mettre en œuvre une architecture efficace centrée sur les données pour un système d’apprentissage numérique.

Superviseur: Dr Vivian Nwaocha, Centre d’Excellence de l’Afrique sur l’Apprentissage Technologique Amélioré (CEAATA) de l’Université Nationale Ouverte du Nigeria

Superviseur Adjoint: Dr Jules Degila, Centre d’Excellence de l’Afrique en Mathématiques et les Applications, Université d’Abomey-Calavi, République du Bénin

Autres contributeurs à la supervision du Doctorat: Dr Adebukola Onashoga, Université Fédérale d’Agriculture, Abeokuta, Etat d’Ogun, Nigeria

Admissibilité des candidatsToutes les conditions d’admission au doctorat en Cyber sécurité au CEAATA

En outre, les candidats doivent soumettre une  proposition d’au plus 6 000 mots soulignant ce qui suit : contexte, énoncé de problème basé sur les Travaux courants, les objectifs, les résultats attendus, la méthodologie, les activités prévues pour la durée du doctorat et des références.

 

Durée de la bourse: 3 ans

Subvention: Programme doctoral du projet ACE-Partner DSTN, 540 euros. Le projet DSTN parrainera également des stages pour les étudiants à la maîtrise

La date limite pour la demande de bourse d’études de DSTN est le 31 décembre 2020.

NOTE:

  • Tous les candidats au doctorat doivent télécharger la note conceptuelle de leur intérêt pour la recherche en au plus 5 500 mots.
  • CEAATA offrira des bourses d’études à des candidats qualifiés. Veuillez visiter le site Web de CEAATA acetel.nou.edu.ng  pour le formulaire de demande de bourse et pour plus de détails.
  • Les demandes de renseignements sur les programmes CEAATA, les bourses d’études ainsi que la bourse DSTN doivent être transmises par courriel à CEAATA : acetel@noun.edu.ng ou composez le 08123030665
  • Pour les étudiants nationaux, le formulaire de demande coute respectivement N20.000,00 et N 30.000,00 N pour les programmes de maîtrise et de doctorat.

Pour les étudiants étrangers, le formulaire de demande coûte respectivement  $155 et $233 pour les programmes de maîtrise et de doctorat 

Appel à candidature aux masters de l’ACETEL

INTRODUCTION

 

Le Centre d’Excellence de l’Afrique sur l’Apprentissage Technologique Amélioré (CEAATA) est un centre régional d’excellence appuyé par la Banque Mondiale, l’Association des Universités d’Afrique, et la Commission Nationale des Universités du Nigéria et qui est axé sur le développement des capacités humaines et la recherche dans les solutions numériques qui mèneront à l’utilisation de la technologie pour l’éducation. Le Centre vise à combler l’écart de connaissances technologiques et à atteindre des niveaux élevés de développement numérique pour le continent africain

Le CEAATA est domicilié au siège de l’Université Nationale Ouverte du Nigéria à Jabi, Abuja. L’équipe du centre est composée de chercheurs issus de domaines scientifiques pertinents, ainsi que des acteurs du secteur public et privé. Le Centre, commence des programmes de troisième cycle pour la session académique 2020/2021 dans les domaines suivants :

  • Maitrise et Doctorat en Intelligence Artificielle
  • Maitrise et Doctorat en cyber sécurité
  • Maitrise et Doctorat en Gestion de système d’information

 

CEAATA invite donc les candidats intéressés et convenablement qualifiés à faire une demande d’admission à l’un ou l’autre des programmes de troisième cycle mentionnés ci-dessus.  Les formulaires de demande sont disponibles au www.acetel.nou.edu.ng

Les candidats intéressés peuvent suivre la procédure de demande en ligne énoncée ci-dessous

 

  • Visitez le site Web de CEAATA https://acetel.nou.edu.ng/
  • Cliquez sur Postuler maintenant
  • Cliquez sur inscription dans le portail de l’application pour créer votre compte
  • Vous recevrez ensuite un message électronique après la création réussie de votre compte avec des instructions pour créer votre mot de passe et des instructions pour visiter Remita et générer une facture qui doit être utilisée pour effectuer le payement du formulaire de demande
  • Après le payement et l’obtention du reçu de payement, cliquez sur le FORMULAIRE DE DEMANDE EN LIGNE
  • Remplissez les détails, téléchargez les documents nécessaires et soumettez
  • Les lettes d’accusé de réception et d’admission seront envoyées par votre adresse électronique après traitement de votre demande

 

Les conditions d’admission pour les programmes sont décrites ci-dessous

  1. Conditions d’admission à un programme de Maitrise en Intelligence Artificielle

Pour être admis dans le programme de Maitrise en Intelligence Artificielle (IA), le candidat devrait satisfaire aux exigences suivantes

  • Une Licence avec mention BIEN dans des matières relatives à l’informatique ou mathématiques, physique, ingénierie ou autres diplômes avec un contenu de mathématiques substantielles.

OU

  • Une moyenne d’au moins 12 sur 20 pour une Licence dans une matière relative à l’informatique telle que le génie informatique, les technologies de l’information.

 

Remarque: Pour les candidats de physique, de mathématiques, de statistiques et d’ingénierie (à l’exception de l’ingénierie informatique et électrique/électronique), un diplôme de Post-Licence peut servir de cours de relais pour être admissible à une Maîtrise en IA

 

Les candidats devraient déjà suivre les cours suivants (ou leurs équivalents) :

 

  1. Algorithmes, programmation, conception d’algorithmes et analyse
  2. Probabilité de base, statistiques et algèbre, algèbre linéaire et mathématiques discrètes
  • En outre, les candidats doivent posséder un minimum de cinq crédits en SSCE/GCE/NECO/NABTEB ou son équivalent, à au plus deux (2) séances, dans les matières suivantes: langue anglaise, mathématiques, physique, chimie, biologie ou mathématiques supplémentaires.

 

  1. Conditions d’admission à un programme de Maitrise en Cyber sécurité

Pour être admis au programme de Maitrise en cyber sécurité, le candidat devrait satisfaire aux exigences minimales suivantes :

  • Une Licence d’une institution reconnue avec une mention Bien en cyber sécurité, technologie de l’information, technologie de la communication, informatique, génie informatique, génie électrique, électrique / électronique, mathématiques, physique, physique électronique, physique avec mathématiques

Ou

  • Une moyenne d’au moins 12 sur 20 dans un diplôme de Post-Licence en cyber sécurité, technologie de l’information, informatique, technologie de la communication, génie informatique, génie électrique, électricité/ électronique, mathématiques, physique, électronique physique, physique avec mathématiques dans institution reconnue
  • De plus, le candidat doit posséder un minimum de cinq crédits en SSCE/GCE/NECO/NABTEB ou son équivalent, à au plus deux (2) séances, dans les matières suivantes: langue anglaise, mathématiques, physique, chimie et l’un des suivants: Biologie, sciences Agricoles, Etudes Informatiques ou Mathématiques Supplémentaires

 

 

  1. Conditions d’admission à un programme de Maitrise en Gestion du Système d’Information

Pour être admis au programme de Maitrise en Gestion du Système d’Information, le candidat devrait satisfaire aux exigences minimales suivantes :

  • Une Licence d’une institution reconnue avec une mention Bien en cyber sécurité, technologie de l’information, communication, Technologie, Informatique, Génie informatique, Génie électrique, Électrique/ Électronique, Mathématiques, Physique, Physique Électronique, Physique avec mathématiques

Ou

  • Une moyenne d’au moins 12 sur 20 dans un diplôme de Post-Licence en cyber sécurité, technologie de l’information, informatique, technologie de la communication, génie informatique, génie électrique, électricité/ électronique, mathématiques, physique, physique électronique, physique avec mathématiques dans institution reconnue
  • De plus, le candidat doit posséder un minimum de cinq crédits en SSCE/GCE/NECO/NABTEB ou son équivalent, à au plus deux (2) séances, dans les matières suivantes : langue anglaise, mathématiques, physique, chimie et l’une des suivantes biologie, sciences agricoles, études informatiques ou mathématiques supplémentaires.

 

 

  1. Conditions d’admission à un programme de Doctorat en Intelligence Artificielle

Les candidats à l’admission au programme de doctorat en Intelligence Artificielle doivent satisfaire aux conditions suivantes:

  • Les candidats doivent avoir cinq crédits, y compris l’anglais, les mathématiques et deux autres matières scientifiques pertinentes au niveau du Brevet d’Etudes de Premier Cycle.
  • Les candidats titulaires d’une Licence provenant d’une université approuvée doivent obtenir une mention ASSEZ BIEN avec une moyenne d’au moins 10 sur 20,
  • Les candidats doivent avoir une maîtrise académique dans les domaines pertinents avec une moyenne d’au moins 16 sur 20 et une moyenne en soutenance de thèse de maitrise d’au moins 60%. Une maîtrise en apprentissage automatique ou dans un domaine étroitement lié sera un avantage.
  • Les candidats doivent avoir des compétents en programmation et une solide formation en mathématiques.
  • Les titulaires d’une qualification ou d’une expérience équivalente spécifiée pour le cours reconnus par le Sénat peuvent être considérés pour l’admission

 

 

  1. Conditions d’admission à un programme de Doctorat en Cyber Sécurité

Les candidats à l’admission au programme de doctorat en Cyber Sécurité doivent satisfaire aux conditions générales et spécifiques suivantes:

  • Les candidats doivent avoir obtenu un minimum de cinq (5) crédits, y compris l’anglais, les mathématiques et deux autres matières scientifiques pertinentes au niveau du BEPC à au plus deux séances.
  • Les candidats titulaires d’une Licence provenant d’une université approuvée doivent avoir une mention ASSEZ BIEN avec une moyenne d’au moins 12 sur 20.
  • Les candidats doivent avoir obtenu une maîtrise (telle que la Maitrise en Technologie, DEA) en sciences de la cyber sécurité, en informatique ou en technologie de l’information de l’Université nationale ouverte du Nigéria ou de toute autre université reconnue par le Sénat de l’Université nationale ouverte du Nigéria avec une moyenne d’au moins 16 sur 20
  • Les candidats ne devraient pas avoir une moyenne inférieure à 60% dans la soutenance de leur thèse.

 

  1. Conditions d’admission à un programme de Doctorat en Gestion de Système d’Information

Les candidats à l’admission au programme de doctorat en Cyber Sécurité doivent satisfaire aux conditions générales et spécifiques suivantes:

  • Les candidats doivent avoir obtenu un minimum de cinq (5) crédits, dans le programme de Post-Licence y compris l’anglais, les mathématiques,
  • Les candidats titulaires d’une Licence provenant d’une université approuvée doivent avoir une mention ASSEZ BIEN avec une moyenne d’au moins 12 sur 20.
  • Les titulaires d’une maîtrise (telle que la Maitrise en Technologie, DEA ou équivalent) en sciences de la cyber sécurité, en informatique ou en technologie de l’information de l’Université nationale ouverte du Nigéria ou de toute autre université reconnue par le Sénat de l’Université nationale ouverte du Nigéria avec une moyenne d’au moins 16 sur 20
  • Les candidats ne devraient pas avoir une moyenne inférieure à 60% dans la soutenance de leur thèse.
  • Les titulaires d’une qualification ou d’une expérience équivalente spécifiée pour les cours reconnus par le Sénat peuvent être considérés pour l’admission

La date limite pour la demande et la bourse CEAATA est le 30 décembre 2020.

10eme Reunion du Comite de Piolotage du Projet & 7eme ATELIER Du Projet CEA

10EME REUNION DU COMITE DE PILOTAGE DU PROJET

15 mai 2017

&

7eme ATELIER Du Projet CEA

Du 16 au 18 mai 2017

InterContinental Hotel, Victoria Island, Lagos, Nigeria

 

LIEU D’ÉVÉNEMENTS

La réunion et l’atelier du Comité de Pilotage du projet CEA(CPP) auront lieu à l’hôtel Intercontinental, rue 52 Kofo Abayomi, île Victoria, à Lagos, Nigéria.

 

INCRIPTION

L’inscription sur place sera effectuée à l’hôtel Intercontinental, l’île Victoria, le lundi 15 mai 2017, avant 18h00 et le mardi 16 mai 2017 à 7h30.

 

LANGUES DE TRAVAIL

Les langues de travail de la Réunion et de l’atelier seront l’anglais et le français. Une interprétation simultanée sera disponible lors de toutes les séances plénières de l’atelier.

 

Veuillez Télécharger les renseignements

Veuillez Télécharger l’information sur les hôtels

Inscrivez-vous

Consulta Consultation pour la Vérification D’un Environnement D’eseignement et D’apprentissage Amélioré

ASSOCIATION DES UNIVERSITÉS AFRICAINES

PROJET DE CENTRES D’EXCELLENCE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR EN AFRIQUE (CEA) 

TERMES DE RÉFÉRENCE (TdR) 

CONSULTA CONSULTATION POUR LA VÉRIFICATION D’UN ENVIRONNEMENT D’ENSEIGNEMENT ET D’APPRENTISSAGE AMÉLIORÉ

HISTORIQUE

L’Association des universités africaines (AUA)

L’Association des universités africaines est l’organisation et le forum de consultation, d’échange d’informations et de coopération entre les établissements d’enseignement supérieur en Afrique. Il représente la voix de l’enseignement supérieur en Afrique sur les organismes régionaux et internationaux et soutient la mise en réseau des établissements d’enseignement supérieur dans l’enseignement, la recherche, l’échange et la diffusion d’informations.

L’Association a été fondée à Rabat (Maroc) le 12 novembre 1967 en réponse aux recommandations d’une conférence de l’UNESCO de septembre 1962. Avec une adhésion initiale de 34 membres, l’Association compte désormais 380 membres issus de 46 pays africains, en traversant des frontières linguistiques et d’autres. Au cours de ses 50 années d’existence, l’Association a fourni une plate-forme de recherche, de réflexion, de consultation, de débats, de coopération et de collaboration sur les questions relatives à l’enseignement supérieur. Grâce à ses programmes variés, il a établi et renforcé son rôle dans les cinq sous-régions d’Afrique et possède ainsi une capacité unique de convoquer des dirigeants et des décideurs institutionnels de l’enseignement supérieur de toutes les régions du continent ainsi que des questions clés liées à l’enseignement supérieur africain et au développement. De plus, l’Association assure le leadership en identifiant les questions émergentes et en soutenant les débats ainsi qu’en facilitant le suivi approprié par ses membres, ses partenaires (y compris d’autres institutions régionales telles que l’UEMOA, le CAMES, etc.) et d’autres parties prenantes.

Dans la poursuite de ses objectifs de promotion de l’enseignement supérieur en Afrique, l’AUA, avec le soutien financier de ses membres et de ses partenaires financiers, entreprend des programmes et des activités répondant aux enjeux et aux défis actuels de l’enseignement supérieur africain. Pour s’assurer que ses interventions répondent aux besoins de ses membres, l’AUA organise une Conférence Générale tous les quatre ans et une Conférence de Recteurs et Présidents des Universités Africaines (COREVIP) tous les deux ans pour faire le point sur ses programmes et Recommandations, ainsi que de délibérer sur les questions émergentes dans l’enseignement supérieur africain.

Le projet CEA

Pour accélérer la croissance, la productivité et les progrès dans la réalisation des objectifs de développement durable, la région a besoin d’investissements dans la production de capital humain bien formé, qui reste malheureusement à la fois qualitativement et quantitativement insuffisant en Afrique. Pour répondre à ce besoin, la Banque mondiale et un groupe de travail africain ont conçu le projet des Centres d’excellence de l’enseignement supérieur en Afrique (CEA). L’objectif du projet est de promouvoir la spécialisation régionale parmi les universités participantes dans des domaines qui répondent à des défis particuliers de développement régional et de renforcer les capacités de ces universités pour offrir une formation de haute qualité et de la recherche appliquée.

Le projet ACE suit une approche régionale et disciplinaire. Les trois domaines disciplinaires concernés sont Agriculture, Santé et STIM (Science, Technologies, Ingénierie et Mathématiques). Cette approche est nécessaire pour se concentrer sur les besoins spécifiques de développement autour de trois des grandes sciences appliquées; et afin d’intégrer les parties prenantes de niveaux différents, d’assurer l’effet de tache d’huile dans toute l’Afrique et d’attirer une masse critique d’expertise en Afrique et à l’échelle internationale. Il assure également des économies d’échelle pour les pays voisins moins dotés, pour devenir des CEA. Les CEA ont été choisis dans le cadre d’un processus rigoureux, fondé sur le mérite et transparent, impliquant des instructeurs de certaines régions d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Afrique. Il y a 22 CEA situés dans des établissements d’enseignement supérieur dans huit des neuf pays participants de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (République du Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Ghana, Nigéria, Sénégal et Togo), qui sont à divers niveaux de mise en œuvre du projet.

OBJECTIF DE LA CONSULTATION DE L’IDL

Le modèle de financement de projets d’investissement (FPI) de la Banque mondiale est utilisé pour financer les activités du projet CEA, ce qui implique que les fonds sont décaissés aux CEA en fonction de l’atteinte satisfaisante des résultats prévus et prédéterminés de la mise en œuvre du programme, autrement dénommé indicateurs de décaissement-liés (IDL). Une approche de financement axée sur les résultats est utilisée ici car elle met l’accent sur la prestation des résultats et le projet CEA est le premier projet à appliquer l’approche de l’IDL à un projet régional.

Les IDL comprennent les résultats de l’éducation et de la recherche obtenus sous forme d’un nombre accru d’étudiants régionaux; atteindre les objectifs de qualité de l’éducation; recherche publiée; nombre de stages et de revenus externes générés. D’autres comprennent la qualité, l’efficacité et l’approvisionnement en temps opportun et la gestion financière, ainsi que l’amélioration de l’enseignement et de l’environnement d’apprentissage. Chaque IDL a un prix de décaissement unitaire par unité de résultat obtenu. Les CEA rendent compte de la réalisation des IDL, qui doivent être vérifiées indépendamment auparavant. Les résultats vérifiés sont chiffrés et décaissés aux CEA.

L’objectif général de cette mission est de visiter les sites des CEA qui ont rapporté la réalisation de l’IDL sur l’amélioration de l’environnement d’enseignement et d’apprentissage (travaux de génie civil et équipement) et de vérifier les jalons tels que rapportés par les CEA.

DESCRIPTION DE LA MISSION

Le plan de mise en œuvre de chaque CEA décrit quatre (4) principaux jalons pour améliorer l’environnement d’enseignement et d’apprentissage en fonction des activités spécifiques menées par le CEA. On s’attend à ce que chaque CEA témoigne de la réalisation des jalons suivant par exemple : contrat signé pour la réhabilitation d’un bâtiment; contrat signé pour la livraison de matériel de laboratoire ou d’apprentissage spécifié; les travaux de réhabilitation à mi-parcours ou terminés; matériel de laboratoire, d’apprentissage ou de mobilier livré et installé; étudiants et chercheurs en laboratoire et utilisant l’équipement.

Chaque CEA a des jalons différents, mais ils constituent un ensemble de jalons communs à tous les CEA, qui sont :

  1. Signature d’un contrat de construction, les preuves incluent (i) une copie signée du contrat avec un bon des quantitatifs (ii) le certificat qui atteste que le Plan de gestion environnementale et sociale (PGES) est respecté (iii) les procédures de passation de marchés pertinentes du Manuel de passation des marchés (PM) approuvé a été suivi (iv) Le contrat de construction doit être sur le site Web de ce CEA.
  2. x pour cent d’achèvement du bâtiment, la preuve comprend (i) la certification du x pour cent d’achèvement de la construction par un architecte / ingénieur acceptable par la Banque.
  3. Matériel de laboratoire acheté ou fourni contrat signé / facture avec la certification de l’approvisionnement, les documents de passation de marchés pertinents sont disponibles pour les audits post-passation du marché.
  4. 100 pour cent achèvement du bâtiment et 80% de l’équipement installé et en cours d’utilisation par les professeurs et les étudiants. Les preuves incluent des photos et une liste de contrôle de tous les équipements sous contrat avec un statut et l’emplacement du matériel acheté. Tous les équipements doivent être inscrits dans le catalogue d’actifs de l’université.

SERVICES REQUIS ET PRINCIPALES TÂCHES

Les services requis consisteront principalement à effectuer des visites de terrain à chaque CEA et à vérifier les jalons achevés annoncés, à rédiger des rapports et à présenter des conclusions à l’AUA / BM.

Le (s) Consultant (s) effectue (nt) les tâches suivantes sur le site du CEA :

  • Vérifier la preuve du contrat de construction signé (y compris une copie de la facture des quantitatifs et du certificat PGES);
  • Vérifier et certifier l’étendue et la qualité des travaux de génie civil. Cela inclura la/l’ :
    • Vérification du pourcentage d’achèvement des travaux de construction, de réhabilitation ou de rénovation;
    • Examination et commentaire de la qualité des matériaux utilisés. Par exemple, les mécanismes de contrôle de qualité utilisés pour les matériaux de construction comme – béton / briques / fils électriques, etc.
    • Vérification si les coûts indiqués / rapportés par le CEA sont dans une fourchette raisonnable de la qualité et de l’étendue des travaux entrepris sur le site.
    • Vérification que chaque bâtiment achevé est mis dans son utilisation prévue.
  • Contrôler l’exactitude et vérifier le pourcentage d’achèvement du bâtiment tel que certifié par un ingénieur / architecte qualifié acceptable par la Banque mondiale;
  • Vérifier si l’équipement de laboratoire signalé par le CEA est celui qui se trouve sur le site avec la documentation nécessaire (factures, certificats, etc.);
  • Vérifier si tous les équipements de laboratoire achetés et installés ont effectivement été installés et sont en service ;
  • Vérifier que le CEA a une liste de contrôle de tous les équipements achetés avec l’état et l’emplacement de tous les équipements ainsi que tous les équipements inscrits dans le catalogue d’actifs de l’université ;
  • Rédiger un rapport basé sur les constatations ci-dessus de la mission de vérification, joindre les documents pertinents et soumettre le rapport à l’AUA / Banque mondiale dans la semaine suivant la visite du site. L’AUA / Banque mondiale fournira des questions / commentaires / commentaires dans les 5 jours suivant la réception du rapport ;
  • Finaliser le rapport en intégrant les réactions / commentaires de l’AUA / Banque mondiale dans les 3 jours suivant la réception des commentaires. Voir l’annexe ci-dessous pour le modèle suggéré à soumettre avec le rapport.

 

DURÉE DE LA VISITE TERAIN

La visite de chaque CEA devrait avoir lieu en deux jours ouvrables. Le consultant peut être tenu de passer des journées supplémentaires, le cas échéant, et après autorisation officielle par l’AUA.

La consultation peut être demandée de visiter plusieurs CEA dans la région pour vérifier l’amélioration de l’environnement d’enseignement et d’apprentissage sous réserve de performances satisfaisantes et de disponibilité des jalons à vérifier.

 

GESTION DE LA MISSION ET DE LIVRABLES

La mission sera supervisée par la RFU et la Banque mondiale, tandis que la coordination et la supervision de la mission seront sous la responsabilité du coordonnateur du projet CEA et du personnel de suivi et évaluation (S&E) de l’AUA et de la Banque mondiale.

Le/la consultant(e) produira des rapports de ses missions de vérification. Le consultant doit soumettre tous les livrables au coordonnateur du projet CEA.

ARRANGEMENTS LOGISTIQUES

L’AUA se chargera des arrangements de voyage nécessaires, y compris un billet aller-retour en classe économique; et facilitera les formalités de visa et d’hébergement pour le Consultant pour tous les déplacements liés à cette mission, ainsi que le transport local en aller-retour des sites de vérification. L’AUA couvrira également les frais d’hébergement et fournira une indemnité journalière de subsistance (selon les taux actuels de la Banque Mondiale) pour la durée de toute activité liée aux CEA.

PROFIL PROFESSIONNEL ET EXIGENCES DÉSIRABLES

Profil de Consultant :

L’Association des universités africaines invite les consultants éligibles à indiquer leur intérêt à fournir les services demandés. Les Consultants intéressés doivent fournir des informations démontrant qu’ils possèdent les qualifications requises et l’expérience pertinente pour fournir les Services. Le consultant doit avoir :

  • au moins une licence en génie civil structure (avec au moins cinq ans d’expérience post-qualification) ou une licence en architecture (avec au moins cinq années d’expérience post-qualification) ou dans un domaine connexe pertinent;
  • Expérience solide en tant que consultant en vérification de travaux de génie civil et / ou de matériel ou service connexe pour un nombre prouvé de missions ;
  • Haute intégrité, bonne assertivité et capable de résister à la pression ;
  • Des connaissances avérées des établissements d’enseignement supérieur africains (y compris les universités, les instituts de recherche et les organisations régionales) ;
  • Expérience pratique de travail en Afrique et de travail régional ;
  • Expérience de travail dans des contextes multi-acteurs ;
  • Excellentes aptitudes à l’oral et à l’écrit, en anglais ou en français.

L’attention des consultants intéressés est attirée sur le paragraphe 1.9 des Guides de la Banque mondiale: Sélection et emploi des consultants [sous les prêts de la BIRD et les crédits et subventions de l’ADI] par les emprunteurs de la Banque mondiale (Le guide de l’édition de janvier 2011 concernant des accords légaux), exposant la politique de la Banque mondiale en matière de conflits d’intérêts.

Un consultant sera sélectionné conformément à la méthode de comparaison de CV décrite dans le guide du consultant.

On peut obtenir de plus amples renseignements à l’adresse ci-dessous pendant les heures de bureau, soit de 9 h 00 à 17 h 00. 

COMMENT APPLIQUER/SOUMISSIONER

Les lettres de demande doivent être envoyées électroniquement à l’adresse ci-dessous, au plus tard le 31 janvier, 2017.

Les demandes doivent comprendre :

  • Un curriculum vitae détaillé décrivant l’expérience professionnelle et la qualification du candidat pour le poste.
  • Deux (2) lettres de référence, dont l’une devrait être celle du supérieur hiérarchique du candidat dans son présent emploi, s’il s’agit d’un(e) employé(e).

Les lettres de candidature et les pièces justificatives des candidats doivent être envoyées par courrier électronique à l’adresse suivante :

The Secretary General

Association of African Universities,

African Universities House,

Aviation Road Extension,

P.O. Box AN 5744,

Accra-North, GHANA

Tel: (233) 21 774495/761588

Fax: (233) 21 774821

Email:  secgen@aau.org

Website:  www.aau.org

 

ANNEXE

Le Tableau 1 ci-dessous est un modèle suggéré pour les travaux de génie civil (construction de bâtiments, rénovations et réhabilitation) avec une liste de contrôle à vérifier par le consultant et à soumettre avec le rapport. Veuillez noter que toutes les vérifications doivent être conformes à ce que la Banque mondiale a approuvé pour chacun des CEA dans leur formulation 2.8 de l’IDL.

Tableau 1

Vérification (Oui/Non)
CEA/

Université

Description sommaire de jalon d’avancement des travaux de génie civil Numéro du jalon Contrat signé et sur le site du CEA Facture de

Quantitatifs disponible et acceptable

Le certificat du PGES est disponible Pourcentage

d’achèvement est tel que rapporté

Si le bâtiment est achevé, est-il utilisé pour l’usage prévu ?
1 Année 80% de la construction terminée du bâtiment terminé 2

Le Tableau 2 ci-dessous est un modèle suggéré pour l’achat et l’installation du matériel (y compris les meubles) avec une liste de contrôle à vérifier par le consultant et à soumettre avec le rapport. Veuillez noter que toutes les vérifications doivent être conformes à ce que la Banque mondiale a approuvé pour chacun des CEA dans leur formulation 2.8 de l’IDL.

Tableau 2

Vérification (Oui/Non)
CEA/

Université

Description sommaire du jalon de l’achat / de l’installation du matériel majeur (basé sur la formulation 2.8 de l’IDL) Numéro du jalon Factures /

Certificats disponibles

installation d’équipement  acceptable Preuve d’utilisation de l’équipement Liste de contrôle de tous les équipements achetés (avec état et emplacement)  

 

Matériel entré dans le catalogue d’actifs de l’université

1 Année Matériel acheté, installé et utilisé 4

 

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