COMMUNIQUÉ DE PRESSE – 10e atelier du CEA Impact : Soutenir les Progrès et Célébrer une Décennie de Changement

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

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10e atelier du CEA Impact : Soutenir les Progrès et Célébrer une Décennie de Changement

Accra, Ghana (23 octobre 2023) – Le projet des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur Africain pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact) se prépare à tenir son 10e atelier régional biannuel à Abidjan, en Côte d’Ivoire, du mardi 31 octobre au vendredi 3 novembre 2023.

Cet atelier a été organisé avec un accent particulier sur le thème de la durabilité. Ce thème revêt une importance particulière car les centres ont bénéficié d’une prolongation sans frais (le projet se termine donc en 2025). Au cours de cette période prolongée, le projet prévoit d’opérationnaliser les plans de durabilité. Un aspect crucial de cet événement sera une session dédiée à la présentation des résultats d’un rapport d’évaluation de l’impact du projet.

En outre, cet événement de quatre jours permettra de discuter des meilleures pratiques et des plans de mise en œuvre pour la durabilité financière et opérationnelle du projet, et de fournir un soutien à la mise en œuvre afin d’améliorer l’efficacité du projet et de relever les défis techniques qui entravent la réussite de l’exécution du projet.

La cérémonie d’ouverture et le lancement des célébrations CEA@10 se tiendront le 31 octobre 2023 (8:00 GMT) à l’Espace Latrille Events. Les activités de l’atelier hybride (virtuel et en présentiel), y compris les sessions plénières et parallèles et les réunions du comité de pilotage et des experts, se tiendront les 1er et 2 novembre 2023 aux hôtels Noom et Movenpick simultanément. La cérémonie de clôture est prévue pour le 3 novembre 2023 à L’Espace Latrille Events.

Le 10ème atelier régional du CEA est coorganisé par l’Agence française de Développement (AFD), la Banque mondiale et l’Association des Universités Africaines, en collaboration avec le Ministère ivoirien de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique.

L’atelier offre un espace de partage des connaissances et de création de réseaux entre les centres et les agences concernées en rassemblant plus de 400 acteurs de l’enseignement supérieur, dont des vice-chanceliers, des membres de l’équipe de projet, des experts en la matière, des représentants des gouvernements et des groupes de réflexion politique. L’atelier offre des possibilités de collaboration en présentiel, favorisant l’échange de points de vue et d’apprentissages régionaux. Les participants reçoivent des outils essentiels et des lignes directrices pour une mise en œuvre efficace des projets, favorisant la durabilité à long terme.

Dans le cadre de l’atelier régional, le 10e anniversaire de la série de projets des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur Africain (CEA@10) sera lancé, célébrant une décennie d’autonomisation de l’enseignement supérieur et de promotion de l’innovation sur le continent africain. « « Les projets du CEA ont été une force de transformation au cours de la dernière décennie dans le secteur de l’enseignement supérieur, en particulier en formant la prochaine génération de travailleurs africains dans le domaine des STIM et en encourageant la recherche de pointe. Les projets ont permis de réaliser des progrès considérables pour relever les défis cruciaux du développement de l’Afrique tout en s’attaquant à la fuite des cerveaux.  Depuis leur lancement en 2014, les projets ont soutenu plus de 80 centres, dans plus de 50 universités, à travers 20 nations africaines. Alors que nous célébrons le CEA@10, il est évident que ses contributions enrichissent le paysage universitaire africain, renforçant la compétitivité mondiale de l’enseignement supérieur et de la recherche africains pour construire une Afrique plus prospère. » Scherezad Latif, Responsable des pratiques de la Banque mondiale pour l’éducation, l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale.

Le lancement mettra également l’accent sur les activités qui seront mises en œuvre avant les célébrations de 2024. « Les activités du CEA@10 marqueront une décennie d’excellence, de collaboration et d’impact transformateur dans l’enseignement supérieur africain. Les activités du CEA@10 amplifieront l’impact du projet sur l’enseignement supérieur africain et son rôle crucial dans la construction d’un avenir prospère pour l’Afrique. » Secrétaire Général de l’AUA, Prof. Olusola Oyewole.

« Le CEA@10 apportera des solutions concrètes adaptées aux contextes de développement africains et générées par la recherche africaine, qui pourront être promues et largement diffusées » Virginie Delisée-Pizzo, Responsable de l’éducation à l’AFD.

Avant l’atelier, des tables rondes virtuelles de soutien à la mise en œuvre au niveau national auront lieu du 16 au 23 octobre 2023.

Les médias sont invités à couvrir la cérémonie d’ouverture et le lancement des célébrations du CEA@10.

Le personnel des médias peut s’inscrire ici

 

Pour de plus amples informations, veuillez contacter :

Ministry of Higher Education, Cote d’Ivoire: Mme Yelly TOURE (mt_yelly@yahoo.fr)

La Banque mondiale: Harry Gerard Crimi Jr (hcrimijr@worldbank.org )

L’Association des Universités Africaines : Millicent Afriyie Adjei ( makyei@aau.org )

 

 

À PROPOS DU PROJET CEA

Les Centres d’Excellence pour l’Enseignement Supérieur Africain (CEA) est un programme financé par la Banque Mondiale et l’AFD, en collaboration avec les gouvernements des pays participants, pour aider les institutions d’enseignement supérieur africaines à se spécialiser dans des domaines thématiques stratégiques dans le but de promouvoir une croissance et un développement durables en Afrique.

Initiée par la Banque mondiale, la première phase du programme CEA (« CEA I ») a été lancée en 2014 avec 22 centres dans neuf pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale, et la deuxième phase (« CEA II ») en 2016 avec 24 centres en Afrique de l’Est et en Afrique australe. Ces deux phases initiales du programme CEA ont permis de créer et de renforcer les capacités des établissements d’enseignement supérieur africains à dispenser des formations et des recherches appliquées de haute qualité et à améliorer la demande de compétences pour le développement de l’Afrique.

Sur la base de ces succès, la Banque mondiale, en collaboration avec l’AFD, a lancé en 2019 le projet des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur Africain pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact) avec 53 centres dans 35 universités dans 10 pays d’Afrique de l’Ouest et à Djibouti pour renforcer davantage la formation post-universitaire et la recherche appliquée dans les domaines existants et soutenir de nouveaux domaines qui sont essentiels pour la croissance économique de l’Afrique.

Dans le cadre du projet CEA Impact, ces 53 centres se spécialisent dans les grands domaines thématiques des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (« STIM »), de l’agriculture, de la santé, de l’environnement, des sciences sociales/sciences appliquées et de l’éducation, qui ont été identifiés comme des ingrédients essentiels au développement de l’Afrique.

Pour en savoir plus sur le projet CEA Impact, visitez le site https://ace.aau.org.

 

 

À PROPOS DES ORGANISATEURS

Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Côte d’Ivoire : Fondé en 2011, le Ministère ivoirien de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique est un ministère gouvernemental chargé de la supervision, de l’accréditation et de la réglementation de l’enseignement supérieur et de la promotion de la recherche scientifique et de l’innovation en Côte d’Ivoire. Le ministère a pour mission de formuler des politiques et de développer des stratégies qui favorisent l’accès à l’enseignement supérieur et à la recherche en Côte d’Ivoire et en améliorent la qualité, dans le but de relever les défis de l’enseignement supérieur dans le pays. Il propose également des formations techniques et des opportunités de développement professionnel au personnel enseignant et non enseignant. Pour l’aider à remplir son mandat, le ministère collabore également avec des organisations et des institutions internationales pour faciliter les partenariats de recherche et les programmes d’échange.

Le Groupe de la Banque mondiale : Le Groupe de la Banque mondiale  est une institution multilatérale de développement qui s’emploie à réduire la pauvreté et à stimuler la prospérité partagée. La Banque, à travers sa filiale l’Association internationale de développement (IDA), cofinance le projet CEA Impact. Fondée en 1960, l’IDA accorde des dons et des prêts à taux faible ou nul pour financer des projets et des programmes de nature à stimuler la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer la vie des plus démunis. L’IDA figure parmi les principaux bailleurs de fonds des 74 pays les plus pauvres de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’IDA apportent des changements positifs aux 1,3 milliard de personnes qui vivent dans les pays de l’IDA. Depuis 1960, la Banque mondiale, par l’intermédiaire de l’IDA, a fourni quelque 500 milliards de dollars à plus de 114 pays membres de l’IDA.

Association des Universités Africaines (AUA) : L’ Association des Universités Africaines  L’AUA est une organisation internationale non gouvernementale à but non lucratif regroupant près de 450 universités africaines, qui se sont réunies pour promouvoir la coopération entre elles, d’une part, et entre elles et la communauté universitaire internationale, d’autre part. Créée en 1967 et représentant la voix de l’enseignement supérieur en Afrique, l’AUA vise à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur africain et à renforcer sa contribution au développement de l’Afrique en soutenant les fonctions essentielles des établissements d’enseignement supérieur et en facilitant la réflexion critique et la recherche de consensus sur les questions qui affectent ces établissements. L’AUA est l’Unité de Facilitation Régionale pour le projet CEA Impact.

Agence française de Développement (AFD) : Depuis plus de 75 ans, l’ Agence française de développement lutte contre la pauvreté dans le monde en soutenant des politiques et des investissements au bénéfice des populations les plus défavorisées. Le renforcement du lien social entre les individus, les groupes et les territoires est au cœur de ses actions dans les domaines de l’éducation, de la santé, de l’emploi, de l’urbanisme, du climat et de la biodiversité. L’Agence française de Développement est le cofinancier du projet CEA Impact.

RÉSUMÉ DU JOUR 1 DU 9ÈME ATELIER RÉGIONAL DU CEA IMPACT

Le 9e atelier régional du CEA Impact a débuté à Marrakech, au Maroc, le 29 mai 2023. La première journée de l’atelier a été marquée par la tenue de 7 réunions clés.

  • Réunion du Comité de Pilotage du Projet

Le Comité de Pilotage du Projet (CPP) du CEA Impact s’est réuni dans la matinée à l’hôtel Riad Ennakhil pour délibérer sur l’avancement de la mise en œuvre du projet. La réunion du CPP était présidée par le professeur Kouami Kokou, membre du CPP du Togo, et comprenait des représentants des 11 pays mettant en œuvre le programme CEA Impact, de l’Association des universités africaines, de la Banque mondiale, de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) et de l’Agence française de Développement. Olusola B. Oyewole, Secrétaire général de l’AUA, Virginie Delisée-Pizzo, Chef du Département de l’éducation, AFD Paris (connectant virtuellement) et Scherezad Latif, Practice Manager, Région Afrique de l’Ouest et du Centre, Banque mondiale, ont participé à la cérémonie d’ouverture. Dr Sylvia Mkandawire, la Gestionnaire principale du projet CEA Impact, a fourni les mises à jour du projet, et elle a été soutenue par Mme Adeline Addy (S&E, AUA) ; M. Frank Adjei (Finances, AUA) ; Maud Kouadio IV (Décaissements du Projet, Banque mondiale) ; et M. Harry Crimi (Restructuration du Projet, Banque mondiale). Gregory Giraud de l’IRD a expliqué le soutien que l’IRD apporte aux centres CEA Impact. Le CPP a également délibéré sur les stratégies de pérennisation des acquis du projet CEA Impact au-delà du financement de la Banque mondiale. Dr. Ekua Bentil, la Responsable de l’équipe de travail du projet CEA Impact de la Banque mondiale, a également participé et a présenté les prochaines étapes et les remarques de clôture.

  • Réunion des experts

La réunion des experts s’est déroulée parallèlement à la réunion du CPP à l’hôtel Riad Ennakhil. L’objectif de cette réunion était de permettre aux experts de partager leur expérience et leur retour d’information sur les missions effectuées dans les centres. Cette réunion a également permis d’examiner les stratégies visant à aider les centres à obtenir davantage de résultats conformément aux plans de restructuration des projets convenus pour chaque centre. Le groupe d’experts en la matière est une équipe qui contribue au soutien et à la supervision de la mise en œuvre opérationnelle et technique des Centres du CEA Impact. Ces experts indépendants sont sélectionnés sur la base de leur expertise académique et/ou disciplinaire relative aux Centres CEA Impact, et de leur expérience internationale dans le domaine de l’enseignement supérieur et/ou de la direction d’université.

  • Réunion sur la passation de marchés

La session sur la passation de marchés s’est tenue dans l’après-midi au Palm Plaza Hotel and Spa et les participants étaient des responsables de la passation de marchés des 53 centres. L’objectif était de s’assurer que les contrats de passation de marchés soient mis en œuvre avec succès par les centres. La présentation était divisée en deux parties : les meilleures pratiques, les défis communs et le partage d’expérience dans la gestion des contrats de marchés publics, et les rôles communs et spécifiques des responsables de la passation de marchés au sein d’une équipe de gestion des contrats. Les points forts de cette session ont été les suivants :

  1. Les responsables de la passation des marchés ne sont pas des gestionnaires de projets ou de contrats.
  2. Une planification adéquate et l’attribution de rôles aux membres de l’équipe de gestion des contrats sont des conditions préalables à une mise en œuvre réussie du contrat.
  3. Les rôles transversaux à toutes les catégories de passation de marchés ont été mis en évidence : négociation et attribution des contrats, documentation des contrats, gestion des relations, gestion des risques et gestion des modifications des contrats.
  4. Les rôles spécifiques aux différentes catégories de passation de marchés ont également été soulignés.

 

  • Gestion financière

La session parallèle sur la gestion financière et les décaissements s’est concentrée sur les aspects de gestion financière du projet et a été animée par l’équipe fiduciaire de la Banque mondiale et de l’AUA. La session a fourni des conseils et des éclaircissements aux responsables financiers du Centre concernant les directives de gestion financière de la Banque mondiale. La session a fourni un bref aperçu de l’état des réalisations des centres et des changements proposés pour l’indicateur lié aux décaissements six (ILD 6). Au cours de la réunion, les animateurs ont mentionné qu’il était essentiel d’accélérer les progrès sur l’ILD 6. Actuellement, l’état de réalisation de l’ILD 6 est de 33 % pour les centres du premier CEA Impact et de 32 % pour les centres du deuxième CEA

Impact. La nécessité d’accélérer les progrès de la mise en œuvre a été soulignée afin que les objectifs souhaités soient atteints. La session a également discuté des modifications proposées au DLR 6 et celles-ci comprenaient les éléments suivants :

  1. Le solde restant du DLR 6.4 est réaffecté aux 3 autres sous-indicateurs du DLR6.
  2. Une augmentation du coût unitaire pour le DLR 6 a été communiquée et cela prendrait en charge les fonds non atteints au titre du DLR 6
  3. Il reste trois autres cycles de vérification pour le projet, à savoir août 2023, février 2024 et août 2024.

 

  • Sauvegardes

La session parallèle sur les sauvegardes environnementales et sociales (sauvegardes E&S) a duré environ 4 heures et comprenait un large éventail de discussions sur les questions de sauvegardes E&S relatives au projet CEA Impact. Les points abordés lors de cette session faisaient partie des principaux défis et difficultés soulevés lors des tables rondes virtuelles, et de ceux identifiés par les experts de la Banque mondiale et de l’AUA en matière de sauvegarde E&S au cours des six derniers mois. La session était dirigée par Gina Consentino de la Banque mondiale et Williams Dzonteu, spécialiste des sauvegardes E&S de l’Association des Universités Africaines. Les points clés suivants ont été discutés :

  1. Chaque site où les travaux ont commencé doit être visité par la Banque mondiale et il est important que le projet veille à ce que ces visites aient lieu.
  2. Les centres doivent contrôler les aspects environnementaux, sociaux, sanitaires et de sécurité sur tous les chantiers en cours et produire des rapports de contrôle.
  3. Chaque Centre doit préparer et transmettre à la Banque mondiale et à l’AUA un rapport trimestriel de suivi/surveillance sur tous les aspects des sauvegardes E&S.
  4. Le niveau de mise en œuvre/suivi du mécanisme de règlement des griefs dans chaque centre.
  5. Le niveau de mise en œuvre et de suivi des politiques de lutte contre le harcèlement sexuel par les centres
  6. Les difficultés rencontrées par chaque centre.

 

Pour chacun des points discutés, des recommandations claires ont été faites aux spécialistes E&S des différents centres, afin d’assurer une meilleure prise en compte des aspects liés à la sauvegarde tout au long du cycle de vie du projet CEA Impact.

 

  • Suivi et Evaluation

La session parallèle du suivi et évaluation a été organisée pour les responsables du suivi et évaluation des CEA participants. L’objectif de cette session était d’informer les responsables du suivi et évaluation des changements apportés aux protocoles de vérification et d’établissement de rapports du projet. En raison de la restructuration en cours du projet, des fonds supplémentaires ont été alloués à des résultats spécifiques liés aux décaissements (RLD) et, dans certains cas, les fonds alloués ont été réduits. Dans le cadre de la restructuration, la Banque mondiale a également introduit plusieurs changements à l’échelle du projet dans les protocoles de vérification des indicateurs et des résultats liés aux décaissements. Il s’agit notamment de changements dans le processus de vérification du RLD 2 (impact sur le développement), d’augmentations du coût unitaire pour l’accréditation des programmes internationaux et de changements dans la manière dont les fonds peuvent être gagnés dans le cadre du RLD 5.3 (« Entrepreneuriat et Innovation »).

Mme Adeline Addy, spécialiste du suivi et de l’évaluation d’ACE Impact, a dirigé la session et a fait une présentation sur les changements apportés au projet et les implications de la restructuration sur la communication et la vérification des résultats. Les agents de S&E ont également reçu des informations sur les résultats vérifiés pour les étudiants et les publications de recherche. L’équipe de S&E de l’AUA a répondu à toutes les questions du centre concernant la vérification des résultats. Le calendrier de rapport et de vérification des résultats a également été partagé avec les participants. En conclusion, les agents de S&E ont été invités à soumettre leurs préoccupations concernant la communication et la vérification des résultats à un lien SharePoint dédié. Les agents de S&E ont également été invités à soumettre tous les résultats obtenus à la plate-forme MEL pour une vérification immédiate.

 

  • Vice-chanceliers universitaires et points focaux de l’ILD 7

Cette session a été spécifiquement organisée pour les vice-chanceliers des universités et les points focaux de l’indicateur lié au décaissement (ILD 7) de chaque institution. L’objectif de la session était d’informer les dirigeants des universités des progrès réalisés dans le cadre de l’indicateur ILD 7, qui se concentre sur l’impact institutionnel et l’évaluation d’impact rapide effectuée par la Banque mondiale pour évaluer l’avancement du projet dans son ensemble. L’ILD 7 est l’un des indicateurs les moins rémunérateurs avec un taux de décaissement de 25 %. Des progrès ont été réalisés notamment en ce qui concerne les stratégies régionales (RLD 7.1) et l’évaluation des performances du PASET (RLD 7.4), chaque institution ayant atteint 100 % lors de la première série d’évaluations. Les indicateurs relatifs à l’évaluation des lacunes (RLD 7.3) et à l’impact institutionnel (RLD 7.5) sont les moins performants. Les vice-chanceliers et les points focaux des universités ont été encouragés à accélérer les progrès sur ces jalons.

La deuxième session sur les résultats de l’évaluation réalisée par les consultants de la Banque mondiale dans les centres du Ghana et de la Côte d’Ivoire a été animée par le Dr Jamil Salmi, ancien employé de la Banque mondiale. Les résultats de l’évaluation ont révélé l’effet positif du projet CEA Impact sur les universités participantes et sur le développement de l’enseignement supérieur africain en général. Il a indiqué que le modèle CEA sera présenté à Singapour cette année et qu’il pourrait être adopté dans le monde entier. Certains des défis révélés par l’évaluation étaient liés aux dirigeants institutionnels qui sont en conflit avec les dirigeants des centres dans certains centres et à la bureaucratie des processus internes qui retardent les performances. Les résultats de l’évaluation ont permis de conclure que si ces défis sont relevés, l’avancement du projet et l’impact global sur l’enseignement supérieur africain seront améliorés.

La Banque mondiale et ses Partenaires Evaluer l’Impact Régional des Projets du Centre d’Excellence

Le projet des Centres d’Excellence de l’Enseignement supérieur Africain (CEA) a le plaisir d’annoncer le lancement de l’Evaluation de l’Impact de la série de projets CEA. L’évaluation portera sur les progrès des projets de la série CEA – CEA 1, CEA 2 et CEA Impact. Cofinancée par la Banque mondiale et l’AFD, l’évaluation sera menée par des experts indépendants et débutera au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, au Ghana et au Nigéria, bien que des travaux analytiques clés soient appliqués pour mesurer l’impact dans tous les pays participants.

Les Centres d’Excellence pour l’Enseignement Supérieur en Afrique (CEA) sont une initiative de la Banque Mondiale en collaboration avec les gouvernements des pays partenaires pour soutenir les institutions d’enseignement supérieur spécialisées dans les Sciences, la Technologie, l’ingénierie et les Mathématiques (STIM), l’Agriculture, la Santé, l’Environnement et les Sciences Sociales/Sciences Appliquées et l’Education. Il s’agit du premier projet régional de la Banque Mondiale destiné à renforcer la capacité des universités Africaines à relever des défis communs spécifiques en matière de développement régional et à répondre à la demande de compétences nécessaires au développement de l’Afrique par le biais d’une formation et d’une recherche appliquée de haute qualité.

La première phase (CEA I) a été lancée en 2014 avec 22 Centres d’Excellence dans Neuf (9) pays d’Afrique Occidentale et Centrale – Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Nigeria, Sénégal et Togo. La deuxième phase (CEA II) a été lancée en Afrique de l’Est et en Afrique australe avec 24 centres en Éthiopie, au Kenya, au Malawi, au Mozambique, au Rwanda, en Tanzanie, en Ouganda et en Zambie. Sur la base des succès initiaux, la Banque Mondiale et l’Agence Française de Développement (AFD), en partenariat avec les gouvernements Africains, ont lancé le projet CEA Impact en 2019 afin de renforcer la formation post-universitaire et la recherche appliquée dans les domaines existants ainsi que de soutenir de nouveaux domaines qui sont essentiels pour la croissance économique de l’Afrique. Dans le cadre de CEA Impact, il existe 53 CEA spécialisés dans les grands domaines thématiques des STIM, de l’agriculture, de la santé, de l’environnement et des sciences sociales/appliquées et de l’éducation.

L’évaluation de l’Impact fournira par conséquent une voie définie pour la mise en œuvre ultérieure du modèle CEA et guidera la conception de futurs projets nationaux et régionaux dans le domaine de l’enseignement supérieur.  Plus précisément, l’évaluation d’impact devrait :

Identifier et mettre en évidence les principales leçons tirées à ce stade des projets CEA, en discutant de la conception et de la mise en œuvre des projets concernant la qualité, la pertinence, l’accès, la gouvernance et le financement, et la manière dont ils sont liés à la formation des étudiants de l’enseignement supérieur et aux résultats de la recherche;

Évaluer l’impact au niveau sectoriel (STIM, Santé, Agriculture et Education), au niveau du système national/institutionnel de l’enseignement supérieur et au sein des communautés locales/régionales – en se focalisant sur les quatre pays ciblés ; et

Élaborer des recommandations politiques globales et spécifiques à chaque pays sur la base des résultats, en se focalisant sur les secteurs de l’enseignement supérieur aux niveaux institutionnel et national.

Pour commencer le processus d’évaluation, des entretiens seront programmés dans des centres situés dans les pays pilotes.  Les résultats préliminaires seront présentés lors de l’atelier régional semestriel de CEA Impact qui se déroulera en mai 2023. En outre, la première version des livrables sera partagée en juin pour un examen plus approfondi et des commentaires de la part des principales parties concernées.

Le Centre d’Excellence de l’Enseignement Supérieur Africain pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact) annonce les lauréats de sa Première édition du Prix de Recherche en Innovation des Etudiants

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 

Le Centre d’Excellence de l’Enseignement Supérieur Africain pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact) annonce les lauréats de sa Première édition du Prix de Recherche en Innovation des Etudiants.

Accra, Ghana (23 novembre 2022) Le projet Centre d’Excellence de l’Enseignement Supérieur Africain pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact) a le plaisir d’annoncer les lauréats de sa Première édition du Prix de Recherche en Innovation des Etudiants (SIRA). Créé par l’Association des Universités Africaines (AUA), l’Unité de Facilitation Régionale du CEA Impact, avec le soutien de la Banque mondiale, le prix reconnaît et promeut l’excellence de la recherche et de l’innovation à valeur scientifique et sociétale, qui répond aux défis du développement de l’Afrique.

Quatre cent vingt-huit (428) candidatures ont été soumises par des étudiants du CEA Impact dans les 11 pays participants (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Djibouti, Ghana, Gambie, Guinée, Niger, Nigeria, Sénégal et Togo) depuis l’annonce de l’appel à candidatures en septembre 2022. Le premier tour du processus d’évaluation transparent et équitable, guidé par les critères stipulés par le prix, a conduit à la sélection de 65 recherches d’étudiants éligibles pour le tour d’évaluation suivant. Suite à la sélection initiale, un comité indépendant d’experts représentant les cinq disciplines thématiques (agriculture, sciences sociales appliquées/éducation, environnement, santé, STIM) du projet CEA Impact a soigneusement évalué chaque soumission. Par la suite, 15 projets de recherche (trois de chaque discipline thématique) ont été sélectionnés pour les prix. Il faut noter que sept (7) projets sur quinze (15) ont été menés par des femmes.

Les lauréats sélectionnés ont reçu une subvention en espèces comprise entre 2000 et 4000 dollars chacun (soit un total de 50 000 dollars de prix en espèces) et des certificats d’excellence en recherche. Les prix ont été remis lors de la cérémonie de clôture du 8ème Atelier régional du CEA Impact qui s’est tenu en Gambie du 14 au 18 novembre 2022.

Le Prix de Recherche en Innovation des Etudiants (SIRA) se focalise sur les étudiants pour stimuler leur intérêt à mettre en œuvre les compétences et les connaissances acquises et visent à stimuler le développement national et régional par la recherche.

Vous trouverez ci-dessous la liste des lauréats.

                                 AGRICULTURE _
Nom Centre Sujet de recherche Position
Mlle Gouegni Edwige Flore Centre pour les maladies tropicales négligées et la biotechnologie médico-légale (ACENTDFB), Université Ahmadu Bello, Nigeria Potentiels immunogènes de Trypanosoma Congolense Phosphatase acide liée à la membrane de poche flagellaire 1ere
M. Magangi Wilfred Abincha Centre d’Afrique de l’Ouest pour l’amélioration des cultures (WACCI), Université du Ghana Enquêtes de sélection pour soutenir la biofortification du manioc par la génomique, la phénomique et la bioinformatique 2 ème
Mr. Krampah Eric Appiah Centre d’Excellence Africain pour la Résilience Côtière (ACECOR), Université de Cape Coast, Ghana. Élevage en laboratoire de larves d’huîtres de mangrove (Crassostrea tulipa) sur des isolats de microalgues locales 2ème Ex aequo
                                                      ENVIRONMENT
Mlle. DJASSOU Adjoavi Colette

 

Valorisation des Dechets en Produits à Haute Valeur Ajoutee (CEA-VALOPRO), Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny Cote d’Ivoire Elaboration d’éco matériaux pour la construction à partir de béton incorporant des granulats de pneus usagés.

 

1ere (Tie)
Ms. OUEDRAOGO Habibou

 

Cochercheurs:

Dr. SORE Seick Omar; Dr. NSHIMIYIMANA Philbert

 

Collège d’Ingénierie : Institut International de l’Eau et de l’Environnement (2iE), Burkina Faso Durabilité des briques en terre comprimées stabilisées aux géopolymères

 

1st (Tie)
Mlle. Maduka Chinonye Medline Centre de Recherche sur les Produits Chimiques des Champs Pétrolifères (CEFOR), Université de Port Harcourt, Nigeria L’utilisation de matières organiques pour formuler le liquide de frein 3ème
                                                            HEALTH
Mlle. YONGOIKYO KUMAWUESE ABIGAIL Centre pour la technologie et la recherche alimentaires (CEFTER), Université d’État de Benue, Nigeria Formulation d’aliments pour nourrissons à base de farine de mangue enrichie 1ere
Dr. TRAORE/MAïGA Safiatou

 

Centre de Formation, de Recherche et d’Expertises en Sciences du Médicament, Burkina Faso

 

Développement D’une Crème A Base De Miel Et De Beurre De Karité Du Burkina Faso Pour Le Traitement Des Brulures Cutanées

 

2eme
M. Aliyu Mukhtar Centre des maladies tropicales négligées et de la biotechnologie médico-légale (ACENTDFB), Nigeria Prévalence des microsporidies en association avec Plasmodium Falciparum et Wuchereria Bancrofti à Anophèles Gambiae au sein de l’Université Ahmadu Bello, Zaria (Campus Samaru ) 3em
                                                          TIGE
Monsieur OZOUDE CHINEMEREM JERRY

 

Co-chercheurs: M. BASI KINGSLEY JOB

 

Centre pour le développement durable de l’électricité et de l’énergie (ACE-SPED), Université de Nusukka , Nigéria Design, optimization, and fabrication of perovskite solar cells for low-cost manufacturing of solar panels in Africa

 

1er
Ms. Iji Juliana Omonya

 

Ms Uzochukwu Maryann Ifeoma; Ms      Odili Cynthia Ujuh

 

Nigeria Un système d’information hospitalier intégré pour le dépistage et le suivi de la drépanocytose 2eme (Tie)
Mr. DIALLO Al Hassim

 

Centre d’Excellence en mathématiques, informatique et TIC (CEA-MITIC), Sénégal Un système d’information hospitalier intégré pour le dépistage et le suivi de la drépanocytose 2em (Tie)

 

 

Pour toute autre question relative aux Prix, veuillez contacter :

 

Pour les questions relatives aux médias, veuillez contacter :

Millicent Kyei via makyei@aau.org

 

À propos de SIRA

Le Prix de Recherche en Innovation des Etudiants (SIRA) est une initiative de l’Association des Universités Africaines (AUA), avec le soutien de la Banque Mondiale, pour approfondir l’engagement du projet à faire progresser la production de connaissances innovantes et ayant un impact. Étant donné que le projet CEA Impact vise à améliorer la qualité, la quantité et l’accès à l’enseignement supérieur dans la région, le projet reconnaît, par le biais de ce système de prix, les recherches exceptionnelles ayant une valeur à la fois scientifique et sociétale entreprises par les étudiants des 53 centres d’excellence africains.

Visitez https://sira.aau.org/ pour plus d’informations sur SIRA

Photos des lauréats du prix:

Les Ministres africains de l’Enseignement Supérieur et les Principales Parties Prenantes se réunissent à Banjul pour le 8ème Atelier régional des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact)

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 

Les Ministres africains de l’Enseignement Supérieur et les Principales Parties Prenantes se réunissent à Banjul pour le 8ème Atelier régional des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact)

Accra, Ghana (8 novembre 2022 ) – Les parties prenantes du projet Centres d’Excellence pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact) se réunira à Banjul, en Gambie, pour la 8ème réunion semestrielle qui se tiendra du 14 au 17 novembre 2022. La réunion rassemblera les ministres de l’enseignement supérieur et les représentants des gouvernements des 11 pays africains participants, les dirigeants des cinquante-trois (53) centres d’excellence, des experts en la matière, les principales parties prenantes de l’enseignement supérieur, des groupes de réflexion politique et des partenaires tels que la Banque mondiale, l’Agence française de développement (AFD) et l’Association des Universités Africaines (AUA).

 

L’atelier favorise un environnement de partage des connaissances et de mise en réseau entre les centres et les agences concernées, offrant des opportunités de collaboration en présentiel pour l’échange de connaissances régionales. Les outils et directives nécessaires pour faciliter la mise en œuvre efficace et la durabilité des projets sont partagés avec tous les centres, renforçant les partenariats et les réseaux tout en garantissant le maintien des normes de qualité. La réunion vise à fournir un soutien à la mise en œuvre et à partager les meilleures pratiques mondiales avec les centres sur les objectifs du projet, en particulier l’impact sur le développement, l’entrepreneuriat et l’innovation, les initiatives de genre, la transformation numérique et les activités d’impact institutionnel.

Dans le cadre de la participation des étudiants à cette réunion de haut niveau, les lauréats de la première édition du Prix de la recherche en innovation des étudiants ( SIRA ) seront récompensés. Au moins les 15 meilleurs étudiants du CEA sélectionnés par concours pour le SIRA seront récompensés lors de la cérémonie de clôture pour des projets compétitifs exceptionnels qui offrent des solutions et des idées novatrices en matière de recherche transformatrice et de collaborations interdisciplinaires. En outre, les étudiants de l’Université des sciences appliquées, de l’ingénierie et de la technologie (USET) en Gambie auront l’occasion de partager leurs résultats de recherche innovants lors d’une exposition de posters qui se tiendra le 15 novembre 2022.

Toutes les activités, y compris les cérémonies d’ouverture et de clôture, se dérouleront (ou seront organisées) au centre de conférence de l’OCI à Banjul, en Gambie. La participation virtuelle est disponible pour les parties prenantes qui souhaitent participer en ligne. Les sessions d’ouverture et de clôture de l’atelier se tiendront respectivement les 15 et 18 novembre à 8h00 GMT. L’invité d’honneur de la session d’ouverture est Son Excellence Adama Barrow, le Président de la République de Gambie.

L’atelier sera précédé d’une réunion à huis clos des ministres et du comité directeur le 14 novembre 2022. Les ministres de l’enseignement supérieur et les représentants gouvernementaux du projet des 11 pays participants, ainsi que les partenaires clés, feront le point sur les progrès réalisés jusqu’à présent et formuleront des recommandations en vue de la durabilité du projet.

Le projet CEA Impact reste engagé dans la formation de la prochaine génération d’experts dans des domaines prioritaires tels que la science, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (STEM), l’agriculture, l’environnement, les sciences sociales appliquées, l’éducation et la santé, dans le but de promouvoir une croissance et un développement durables en Afrique.

 

Veuillez visiter le site Web de l’événement pour plus de détails sur l’ordre du jour de la réunion, entre autres informations pertinentes.

– FIN –

 

Pour plus d’informations, contactez

La Banque mondiale : Hadijja Jawara , hjawara1@worldbank.org

L’AUA : Millicent Kyei, makyei@aau.org

Gambie : Maya Faal , mayafaal10@gmail.com

 

Informations de base

Le Projet des Centres d’excellence de l’enseignement supérieur en Afrique (CEA) est une initiative de la Banque mondiale en collaboration avec les gouvernements des pays participants pour soutenir les institutions d’enseignement supérieur spécialisées dans les domaines des sciences, de la technologie, l’ingénierie et des mathématiques. C’est le premier projet de la Banque mondiale visant à renforcer les capacités des institutions d’enseignement supérieur en Afrique. Il vise à promouvoir la spécialisation régionale des universités participantes dans des domaines qui répondent à des défis communs spécifiques de développement régional. Il vise également à renforcer les capacités de ces universités à dispenser une formation et mener une recherche appliquée de haute qualité, ainsi qu’à répondre à la demande de compétences nécessaires au développement de l’Afrique. La première phase (CEA I) a été lancée en 2014 avec 22 Centres d’excellence dans neuf (9) pays d’Afrique de l’Ouest et du centre –Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Nigéria, Sénégal et Togo. La deuxième phase (CEA II) a été lancée en Afrique orientale et australe avec 24 centres en Éthiopie, au Kenya, au Malawi, au Mozambique, au Rwanda, en Tanzanie, en Ouganda et en Zambie. Sur la base des premiers succès, la Banque mondiale et l’Agence française de développement (AFD), en collaboration avec les gouvernements africains, ont lancé le projet CEA Impact en 2019 pour renforcer davantage la formation post-universitaire et la recherche appliquée dans les domaines existants et soutenir de nouveaux domaines qui sont essentiels à la croissance économique de l’Afrique. Le CEA Impact couvre 53 centres spécialisés dans les grands domaines thématiques des STEM, de l’agriculture, de la santé, de l’environnement, des sciences sociales/appliquées et de l’éducation. Pour plus d’informations sur le projet CEA Impact, visitez https://ace.aau.org

 

À propos des organisateurs

Association des universités africaines (AUA ) : L’Association des universités africaines est une organisation internationale non gouvernementale à but non lucratif créée par des universités africaines pour promouvoir la coopération entre elles d’une part, et entre elles et la communauté universitaire internationale d’autre part. Créée en 1967, l’AUA est la voix de l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA vise à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur africain et à renforcer sa contribution au développement de l’Afrique en soutenant les fonctions essentielles des établissements d’enseignement supérieur et en facilitant la réflexion critique et la recherche d’un consensus sur les questions affectant l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA est l’Unité de Facilitation Régionale du projet des Centres d’Excellence Africains pour l’Impact sur le Développement. L’AUA agit en tant qu’Unité de Facilitation Régionale des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique pour l’Impact sur le Développement (Projet CEA Impact).

Groupe de la Banque mondiale :  Le Groupe de la Banque mondiale est une institution multilatérale de développement qui s’emploie à réduire la pauvreté et à stimuler la prospérité partagée. Sa filiale IDA (Association internationale de développement) finance la série de projets des Centres d’excellence africains (CEA). Fondée en 1960, l’IDA accorde des dons et des prêts à taux faible ou nul pour financer des projets et des programmes de nature à stimuler la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer la vie des plus démunis. L’IDA figure parmi les principaux bailleurs de fonds des 74 pays les plus pauvres de la planète, dont 39 se trouvent en Afrique. Ses ressources bénéficient concrètement à 1,3 milliard de personnes. Depuis sa création, l’IDA a mobilisé 458 milliards de dollars en direction de 114 pays. Sur les exercices 2019-21, le volume moyen de ses engagements annuels s’établit autour de 29 milliards de dollars, dont 70 % sont destinés à l’Afrique.

Agence française de développement (AFD) : Depuis plus de 75 ans, l’Agence Française de Développement (AFD) lutte contre la pauvreté dans le monde en soutenant des politiques et des investissements au bénéfice des populations les plus démunies. Le renforcement du lien social entre les individus, les collectivités et les territoires sont désormais au cœur de ses actions en matière d’éducation, de santé, d’emploi, d’urbanisme, de climat ou de biodiversité. L’Agence Française de Développement (AFD) est le cofinancier du projet.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE: CEA Impact lance son Premier Prix de Recherche en Innovation des Etudiants (SIRA)

Pour publication immédiate

Les Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur Africain pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact) Récompensent la Qualité, la Recherche Appliquée et l’Innovation.
CEA Impact lance son Premier Prix de Recherche en Innovation des Etudiants (SIRA)

Accra, Ghana, 15 septembre 2022. Le projet des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur Africain pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact) annonce un appel à candidatures pour son premier Prix de Recherche en Innovation des Etudiants (SIRA). SIRA reconnaît et promeut l’excellence de la recherche et de l’innovation qui répondent aux défis du développement de l’Afrique. Établis par l’Unité de Facilitation Régionale du CEA Impact, l’Association des Universités Africaines (AUA), avec le soutien de la Banque Mondiale, SIRA renforce l’engagement du projet à faire progresser la production de connaissances innovantes et ayant un impact.

Le projet CEA Impact vise à améliorer la qualité, la quantité et l’accès à l’enseignement post-universitaire dans la région.

Grâce à ce programme de prix, le projet reconnaîtra les recherches exceptionnelles ayant une valeur à la fois scientifique et sociétale entreprises par les étudiants des 53 Centres d’Excellence Africains. L’impact pratique et à long terme de la recherche menée est essentiel pour les domaines prioritaires les plus critiques de la région. Les étudiants sont au coeur de ce projet. En tant que principaux ambassadeurs, SIRA cible les étudiants pour stimuler leur intérêt à mettre en oeuvre les compétences et les connaissances acquises pour stimuler le développement et la croissance nationale et régionale. Les candidatures sont acceptées dans les domaines thématiques suivants : santé, production et transmission d’électricité, énergies renouvelables, mines et industries extractives, urbanisme et transports durables, agriculture durable, sciences de l’environnement, éducation et technologies de l’information et de la communication (TIC). Pour chaque domaine thématique, trois prix (1ère place, 2ème place et 3ème place) seront décernés.

Les partenaires de l’industrie et du développement qui ont une vision commune du soutien et de l’amélioration de la prochaine génération de main-d’oeuvre hautement qualifiée en Afrique par le biais du mentorat, de la formation pratique et du financement, entre autres types de soutien, sont invités à collaborer à l’initiative SIRA.

Détails de Candidature: Seuls les étudiants inscrits dans les 53 Centres d’Excellence du Projet CEA Impact sont qualifiés pour soumettre une candidature dans le cadre de cette bourse. Les candidats intéressés sont invités à visiter le site https://sira.ace.aau.org/ pour de plus amples informations.

Date limite de dépôt des candidatures: 30 septembre 2022

Pour toute question relative aux prix, veuillez contacter :

  • M. Schneineda Ankomah via skankomah@aau.org
  • M. Enoch Kpaani via tekpani@aau.org

Pour les demandes de renseignements par les médias, veuillez contacter :

  • Mme. Millicent Afriyie via makyei@aau.org

Pour toute information relative au partenariat, veuillez contacter :

  • Dr. Sylvia Mkandawire vía smkandawire@aau.org

Informations de base
Le projet des Centres d’Excellence pour l’Enseignement Supérieur en Afrique (CEA) est une initiative de la Banque Mondiale en collaboration avec les gouvernements des pays participants pour soutenir les établissements d’enseignement supérieur spécialisés dans les domaines suivants : sciences, technologies, ingénierie et mathématiques (STEM), agriculture et santé. Environnement, et Sciences sociales/appliquées et éducation. Il s’agit du premier projet de la Banque Mondiale visant à renforcer les capacités des institutions d’enseignement supérieur en Afrique.

Le projet encourage une spécialisation accrue parmi les universités participantes, en se concentrant sur la résolution de problèmes de développement régionaux communs spécifiques. Il vise à renforcer les capacités de ces universités à dispenser une formation et une recherche appliquée de haute
qualité, en comblant le déficit de compétences et en répondant à la demande requise pour le développement de l’Afrique. La première phase (CEA I) a été lancée en 2014 avec 22 centres d’excellence dans neuf (9) pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre ; Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Nigeria, Sénégal et Togo. La deuxième phase (CEA II) a été lancée en Afrique orientale et australe avec 24 centres en Éthiopie, au Kenya, au Malawi, au Mozambique, au Rwanda, en Tanzanie, en Ouganda et en Zambie.

Sur la base des premiers succès, le Groupe de la Banque Mondiale et l’Agence Française de Développement (AFD), en collaboration avec les gouvernements africains, ont lancé le projet CEA Impact en 2019 pour renforcer davantage la formation post-universitaire et la recherche appliquée dans les domaines existants et soutenir de nouveaux domaines essentiels à la croissance économique de l’Afrique. Il existe 53 CEA spécialisés dans les grands domaines thématiques des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM), de l’Agriculture, de la Santé, de l’Environnement et des Sciences Sociales/appliquées et de l’Education, avec un accent prioritaire sur les villes durables ; l’Energie et l’Electricité durables ; les Sciences Sociales et l’Education ; les Transports ; la Santé et la Politique de la Population ; le Développement de la Phytothérapie et les Sciences Réglementaires ; la Santé Publique ; l’Informatique Appliquée et la Communication ; la Production Pastorale ; l’Entrepreneuriat et l’Innovation, entre autres.

Depuis son lancement, plus de 22 000 étudiants ont été inscrits dans le cadre du projet CEA Impact. Cela comprend près de 3 000 étudiants en doctorat, près de 10 000 étudiants en maîtrise et plus de 10000 étudiants inscrits à des cours professionnels de courte durée. En tant qu’initiative régionale, l’inscription des étudiants s’étend au-delà des pays participants à d’autres pays africains, dont le Burundi, le Gabon, entre autres. Conformément aux normes mondiales en matière de formation et de recherche, la majorité des programmes mis en oeuvre par les centres sont accrédités au niveau international et les centres disposent d’un environnement et d’installations propices à l’enseignement, à l’apprentissage et à la recherche, notamment des équipements et des laboratoires de pointe.

Pour plus d’informations sur le projet CEA Impact, visitez le site: https://ace.aau.org.

À propos des Organisateurs

A propos de l’Association des Universités Africaines (AUA): L’Association des Universités Africaines est une organisation internationale non gouvernementale à but non lucratif créée par des universités africaines pour promouvoir la coopération et la collaboration entre les universités, tout en jetant un pont vers la communauté universitaire internationale. Créée en 1967, l’AUA est la voix de l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA vise à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur africain et à renforcer sa contribution au développement de l’Afrique. En soutenant les fonctions essentielles des établissements d’enseignement supérieur, l’AUA facilite la réflexion critique et le consensus sur les questions qui affectent l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA est l’Unité de Facilitation Régionale du projet des Centres d’Excellence Africains.

À propos du Groupe de la Banque Mondiale: Le Groupe de la Banque Mondiale est une institution multilatérale de développement qui oeuvre à la réduction de la pauvreté et au renforcement de la prospérité partagée. Sa filiale IDA (International Development Association) finance la série de projets des Centres d’Excellence pour l’Afrique. Créée en 1960, l’IDA aide les pays les plus pauvres du monde en fournissant des subventions et des prêts à taux d’intérêt faible ou nul pour des projets et des programmes qui stimulent la croissance économique, réduisent la pauvreté et améliorent la vie des pauvres. L’IDA est l’une des plus importantes sources d’aide pour les 75 pays les plus pauvres du monde, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’IDA apportent des changements positifs aux 1,5 milliard de personnes qui vivent dans les pays IDA. Depuis 1960, l’IDA a soutenu des travaux de développement dans 113 pays. Les engagements annuels se sont élevés en moyenne à environ 18 milliards de dollars au cours des trois dernières années, dont environ 54 % pour l’Afrique.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE: 7e Atelier Régional CEA Impact qui se tiendra du 13 au 17 juin 2022

Pour diffusion immédiate

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

53 Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur d’Afrique se réunissent en personne pour la première fois après le Covid afin de renforcer la volonté d’obtenir un impact sur le développement

7e Atelier Régional CEA Impact qui se tiendra du 13 au 17 juin 2022

Accra, Ghana (30 mai 2022) – La 7e réunion semestrielle des Centres d’Excellence d’Afrique pour l’impact sur le développement (CEA Impact) est prévue du 13 au 17 juin 2022 à Cotonou, au Bénin. Compte tenu de l’impact et des restrictions de mobilité posés par l’épidémie de la pandémie COVID- 19, les parties prenantes du CEA Impact se réunissent pour la première fois en personne depuis deux ans (la dernière réunion en personne a eu lieu en février 2020 à Abuja, au Nigeria).

La réunion, qui prévoit une participation virtuelle, rassemble les dirigeants des cinquante-trois (53) centres d’excellence, des représentants des gouvernements des onze pays participants, des acteurs clés de l’enseignement supérieur, des groupes de réflexion politique et des partenaires tels que la Banque mondiale, l’Agence Française de Développement (AFD) et l’Association des Universités Africaines (AUA).

Engagé à renforcer la capacité des universités à offrir une formation et une recherche appliquée de haute qualité pour relever les défis du développement régional, le projet CEA Impact réunit les parties prenantes pour accélérer la mise en oeuvre du projet en mesurant l’impact accumulé et en explorant les moyens de résoudre les goulots d’étranglement. Lorsque le projet atteindra sa revue à mi-parcours (RMP) en 2021, les résultats du processus de RMP seront évalués lors de l’atelier à venir, les équipes finalisant les recommandations et les prochaines étapes. CEA Impact est mis en oeuvre sur une durée de cinq ans, de 2019 à 2024.

L’atelier offrira en outre une occasion d’apprentissage par les pairs et de partage des connaissances régionales entre les centres, ainsi que de renforcer les partenariats et les réseaux pour favoriser la mise en oeuvre réussie et la durabilité des projets. La réunion vise à promouvoir le soutien à la mise en oeuvre et à partager les meilleures pratiques mondiales avec les centres sur les objectifs du projet, en particulier l’impact sur le développement, l’entrepreneuriat et l’innovation, les initiatives en matière de genre, la transformation numérique et les activités d’impact institutionnel.

En outre, les étudiants sélectionnés des trois centres du Bénin auront l’occasion de partager leurs résultats de recherche innovants lors d’une exposition d’affiches le 14 juin 2022 au Palais des Congrès.

Les sessions de clôture et de clôture de l’atelier auront lieu respectivement les 14 et 17 juin à 10h00 GMT+1.

Le projet CEA Impact reste engagé à former et à fournir à l’Afrique les compétences nécessaires dans les domaines de la science, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM), de l’agriculture, de l’environnement, des sciences sociales appliquées, de l’éducation et de la santé pour réaliser sa transformation économique.

– FIN –

 

Note aux rédacteurs

Une conférence de presse se tiendra virtuellement/en personne le 14 juin 2022 au Palais des Congrès de Cotonou. Pour participer ou pour plus d’informations, veuillez contacter Millicent Afriyie par e-mail makyei@aau.org.
Informations générales :

Le projet des Centres d’Excellence de l’enseignement supérieur en Afrique (CEA) est une initiative de la Banque mondiale en collaboration avec les gouvernements des pays participants pour soutenir les institutions d’enseignement supérieur spécialisés dans les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (STEM), l’agriculture et la santé. Il s’agit du premier projet de la Banque mondiale visant à renforcer les capacités des institutions d’enseignement supérieur en Afrique. La première phase (CEA I) a été lancée en 2014 avec 22 centres d’excellence dans neuf (9) pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale ; Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Nigéria, Sénégal et Togo. Le projet vise à promouvoir la spécialisation régionale parmi les universités participantes dans des domaines qui répondent à des défis de développement régional communs spécifiques. Il vise également à renforcer les capacités de ces universités à dispenser une formation et une recherche appliquée de haute qualité ainsi qu’à répondre à la demande de compétences nécessaires au développement de l’Afrique. La deuxième phase (CEA II) a été lancée en Afrique orientale et australe avec 24 centres en Éthiopie, au Kenya, au Malawi, au Mozambique, au Rwanda, en Tanzanie, en Ouganda et en Zambie. Sur la base des premiers succès, la Banque mondiale et l’Agence Français de Développement (AFD), en collaboration avec les gouvernements africains, ont lancé le projet CEA Impact en 2018 pour renforcer la formation postdoctorale et la recherche appliquée dans les domaines existants et soutenir de nouveaux domaines essentiels à la croissance économique de l’Afrique. Il y a 43 CEA (25 nouveaux et 18 de CEA I); 5 centres émergents; 1 centre de « complément » en gestion des risques sociaux; et 5 collèges et écoles d’ingénierie. Les nouveaux domaines comprennent les villes durables; l’énergie et l’énergie durables; sciences sociales et éducation; les transports; la santé et les politiques de la population; le développement de la phytothérapie et les sciences réglementaires; la santé publique; informatique appliquée et communication; et la production pastorale.

À propos des organisateurs

À propos de l’Association des Universités Africaines (AUA): L’Association des Universités Africaines est une organisation non-gouvernementale internationale à but non lucratif créée par les universités africaines pour promouvoir la coopération entre elles, d’une part, et entre elles et la communauté universitaire internationale, d’autre part. Créée en 1967, l’AUA est la voix de l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA vise à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur africain et à renforcer sa contribution au développement de l’Afrique en soutenant les fonctions essentielles des institutions d’enseignement supérieur et en facilitant la réflexion critique et la recherche d’un consensus sur les questions affectant l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA est l’Unité Régionale de Facilitation du projet des Centres d’Excellence pour l’Afrique.

• À propos du Groupe de la Banque mondiale : Le Groupe de la Banque mondiale est une institution multilatérale de développement qui oeuvre à la réduction de la pauvreté et à la promotion d’une prospérité partagée. Sa filiale IDA (International Development Association) finance la série de projets des Centres d’Excellence pour l’Afrique. Fondée en 1960, l’IDA aide les pays les plus pauvres du monde en accordant des subventions et des prêts à taux faible ou nul pour des projets et des programmes qui stimulent la croissance économique, réduisent la pauvreté et améliorent la vie des pauvres. L’IDA est l’une des plus grandes sources d’aide pour les 75 pays les plus pauvres du monde, dont 39 en Afrique. Les ressources de l’IDA apportent des changements positifs aux 1,5 milliard de personnes qui vivent dans les pays de l’IDA. Depuis 1960, l’IDA a soutenu les travaux de développement dans 113 pays. Les engagements annuels se sont élevés en moyenne à environ 18 milliards de dollars au cours des trois dernières années, dont environ 54% en Afrique.

• À propos de l’Agence Français de Développement (AFD) : Depuis plus de 75 ans, l’Agence Français de Développement (AFD) lutte contre la pauvreté dans le monde en soutenant des politiques et des investissements qui profitent aux populations les plus pauvres. Le renforcement du lien social entre les individus, les groupes et les territoires est désormais au coeur de ses actions en matière d’éducation, de santé, d’emploi, d’urbanisme, de climat ou de biodiversité.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE- 6e Atelier Régional du CEA Impact

Pour publication immédiate

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 

Les Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique pour l’impact sur le développement (CEA Impact) se réunissent pour examiner le projet à mi-parcours et renforcer la mise en œuvre et l’efficacité du projet.

  6e Atelier Régional du CEA Impact se tiendra virtuellement du 8 au 11 novembre 2021.

 

Accra, Ghana (28 octobre 2021) – Le Sixième  Atelier Régional Biannuel des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique pour l’impact sur le développement (CEA Impact) se tiendra du 8 au 11 novembre 2021. La réunion rassemblera les cinquante-trois (53) centres d’excellence, les représentants des gouvernements des pays participants, les vice-chanceliers, les représentants du secteur de l’enseignement supérieur, le secteur privé, les groupes de réflexion politique, et les partenaires tels que la Banque mondiale, l’Agence Française de Développement et l’Association des Universités Africaines ainsi que d’autres parties prenantes clés.

Depuis son lancement en 2019, le projet CEA Impact a enregistré des succès remarquables dans l’amélioration de la qualité de l’enseignement post-universitaire dans les institutions  d’enseignement supérieur de la sous-région, y compris Djibouti.  Le projet étant arrivé à miparcours, cet atelier présentera l’occasion unique de discuter des questions critiques qui ont émergé lors du processus d’examen à mi-parcours. L’atelier se concentrera sur l’échange de points de vue concernant les principales réalisations du projet et son statut général, ainsi que sur l’obtention d’un retour d’information précieux et de solutions pratiques pour l’avancement et le développement du projet au cours de la prochaine moitié de sa mise en œuvre.

Les centres auront l’opportunité de partager leurs expériences et de se mettre en réseau afin de favoriser les collaborations pour la durabilité du projet. Cette opportunité garantit la réalisation de l’objectif global du projet – améliorer la qualité, la quantité et l’impact sur le développement de l’enseignement supérieur en Afrique par la spécialisation et la collaboration régionales.

 

De manière générale, les principaux domaines d’intérêt de l’atelier seront les suivants :

  1. Mise à jour des progrès et domaines prioritaires clés.

 

  1. Examen à mi-parcours (EMP) – offre aux parties prenantes du projet l’occasion de revoir ensemble l’efficacité de la conception et de la mise en œuvre du projet et de résoudre les goulets d’étranglement opérationnels.
  • Faits saillants sur les activités liées au suivi et à l’évaluation – Vérification des indicateurs liés aux décaissements (ILD), mises à jour sur l’impact sur le développement, et l’entrepreneuriat et l’innovation.
  1. Mise à jour sur les initiatives de mise en réseau – Réseaux thématiques Inter-CEA; Partenariat pour les compétences en sciences appliquées, ingénierie et technologie (PASET); Initiative des Centres de Compétences en Éducation Numérique (C-CoDE) – une initiative visant à promouvoir l’intégration durable de l’éducation numérique dans les processus d’enseignement.
  2. Sessions parallèles sur le suivi et l’évaluation, la gestion financière et le décaissement, la passation de marchés et les sauvegardes.

 

Avant l’atelier, une réunion ministérielle à huis clos aura lieu le 8 novembre 2021. Les ministres de l’éducation des 10 pays participants, ainsi que les partenaires du projet, se réuniront pour fournir des conseils sur la mise en œuvre réussie et la durabilité du projet. La séance d’ouverture aura lieu le mardi 9 novembre 2021 à 10h00.

Le projet CEA Impact reste dédié au renforcement des capacités des 53 centres à dispenser une éducation de qualité et à produire les solutions aux besoins de développement du continent.

Toutes les parties prenantes du CEA Impact sont invitées à participer activement à cet atelier.

 

Pour plus d’informations sur le projet  CEA Impact, visitez le site https://ace.aau.org/.

 

–  FIN –

 

 

Note aux rédacteurs

Pour de plus amples informations, veuillez contacter Mme Millicent Afriyie Kyei à l’adresse électronique makyei@aau.org.

 

Informations générales :  

Le projet de Centres d’Excellence pour l’Enseignement Supérieur en Afrique (CEA) est une initiative de la Banque mondiale en collaboration avec les gouvernements des pays participants pour soutenir les institutions d’enseignement supérieur spécialisés dans les domaines des Sciences, de la Technologie, de l’Ingénierie et des Mathématiques (STEM), de l’Agriculture et de la Santé. Il s’agit du premier projet de la Banque mondiale visant à renforcer les capacités des institutions d’enseignement supérieur en Afrique. La première phase (CEA I) a été lancée en 2014 avec 22 centres d’excellence dans neuf (9) pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre ; Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Nigeria, Sénégal et Togo. Le projet vise à promouvoir la spécialisation régionale des universités participantes dans des domaines qui répondent à des défis de développement régionaux communs spécifiques. Il vise également à renforcer les capacités de ces universités à dispenser une formation et une recherche appliquée de haute qualité et à répondre à la demande de compétences nécessaires au développement de l’Afrique. La deuxième phase (CEA II) a été lancée en Afrique orientale et australe avec 24 centres répartis en Éthiopie, au Kenya, au Malawi, au Mozambique, au Rwanda, en Tanzanie, en Ouganda et en Zambie.

Sur la base des premiers succès, la Banque mondiale et l’Agence Française de Développement (AFD), en collaboration avec les gouvernements africains, ont lancé en 2018 le projet CEA Impact pour renforcer la formation post-universitaire et la recherche appliquée dans les domaines existants et soutenir de nouveaux domaines essentiels à la croissance économique de l’Afrique. Il existe 43 CEA (25 nouveaux et 18 issus de CEA I); 5 centres émergents;1 centre « top up » en gestion des risques sociaux; et 5 collèges et écoles d’ingénieurs. Les nouveaux domaines comprennent les villes durables; l’énergie et l’électricité durables; les sciences sociales et l’éducation; le transport; la santé et la politique de la population; le développement de la phytothérapie et les sciences réglementaires; la santé publique; l’informatique appliquée et la communication; et la production pastorale.

 

 INFORMATIONS SUR LES ORGANISATEURS

  • A propos de l’Association des Universités Africaines (AUA): L’Association des Universités Africaines est une organisation internationale non-gouvernementale à but non lucratif créée par des universités africaines pour promouvoir la coopération entre elles d’une part, et entre elles et la communauté universitaire internationale d’autre part. Créée en 1967, l’AUA est la voix de l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA vise à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur africain et à renforcer sa contribution au développement de l’Afrique en soutenant les fonctions essentielles des institutions d’enseignement supérieur et en facilitant la réflexion critique et la recherche de consensus sur les questions qui touchent l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA est l’Unité de Facilitation Régionale du projet des Centres d’excellence africains.

 

  • À propos du Groupe de la Banque mondiale: Le Groupe de la Banque mondiale est une institution multilatérale de développement qui œuvre à la réduction de la pauvreté. Sa filiale IDA (International Development Association) finance la série de projets des Centres d’Excellence pour l’Afrique. Créée en 1960, l’IDA aide les pays les plus pauvres du monde en fournissant des subventions et des prêts à taux d’intérêt faible ou nul pour des projets et des programmes qui stimulent la croissance économique, réduisent la pauvreté et améliorent la vie des pauvres. L’IDA est l’une des plus importantes sources d’aide pour les 75 pays les plus pauvres du monde, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’IDA apportent des changements positifs aux 1,5 milliard de personnes qui vivent dans les pays IDA. Depuis 1960, l’IDA a soutenu des travaux de développement dans 113 pays. Les engagements annuels se sont élevés en moyenne à environ 18 milliards de dollars au cours des trois dernières années, dont environ 54 % pour l’Afrique.

 

  • A propos de l’Agence Française de Développement :  Depuis plus de 75 ans, l’Agence Française de Développement (AFD) lutte contre la pauvreté dans le monde en soutenant les politiques et les investissements qui bénéficient aux populations les plus démunies. Le renforcement du lien social entre les individus, les groupes et les territoires sont désormais au cœur de ses actions en matière d’éducation, de santé, d’emploi, d’urbanisme, de climat ou de biodiversité. Pour l’AFD, le développement équilibré passe par une réelle réduction des inégalités.

 

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L’initiative C-CoDE débute pour renforcer les compétences en matière de l’éducation numérique

En Septembre 2021, l’Association des Universités Africaines, dans le cadre du projet des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur d’Afrique pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact), en collaboration avec l’EPFL – École polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse), a commencé la mise en œuvre de l’initiative des Centres de Compétence en Éducation Numérique (C-CoEN)

Six (6) universités hôtes du CEA Impact ont été sélectionnées de manière compétitive et sont soutenues pour établir des centres de compétences en éducation numérique sur leurs campus afin de promouvoir l’intégration durable de l’éducation numérique dans les processus d’enseignement, comme un moyen de renforcer la qualité de l’enseignement ainsi que les compétences des diplômés.

Un total de 12 candidatures a été reçu de six pays différents: huit (8) d’universités anglophones et quatre (4) d’universités francophones. Les six universités sélectionnées sont: la National Open University du Nigeria, l’Université du Nigeria, Nsukka, l’Université Bayero, Kano, Nigeria, l’Université de l’Energie et des Ressources Naturelles, Sunyani, Ghana, l’Université Joseph Ki-Zerbo, Ouagadougou, Burkina Faso, et l’Université d’Abomey-Calavi, Cotonou, Bénin.

Les centres CEA participants dans ces universités comprennent, le Centre d’Excellence d’Afrique pour l’Apprentissage Amélioré par la Technologie (CEAAAT), le Centre d’Excellence d’Afrique pour le Développement Durable de l’Energie (CEA-DDE), le Centre d’Excellence d’Afrique pour la Santé et la Politique des Populations (CEASPP) ; le Centre pour d’Agriculture des Terres Arides  (CATA), Le Centre Regional de l’Energie et de l’Environement Durable  (RCEES), CEA-Centre d’Etudes, de Formation et de Recherche en Gestion des Risques Sociaux (CEFORGRIS) et CEA-SMIA (Centre d’Excellence d’Afrique en Sciences, Mathématiques, Informatique et Application.

 

Cette initiative fournira aux institutions participantes la formation et l’accompagnement nécessaires pour transformer leurs programmes d’enseignement en intégrant des méthodes modernes d’enseignement numérique. Chaque université sélectionnée engagera une partie du financement de son ou ses projets CEA Impact pour l’acquisition de l’équipement nécessaire et d’un lieu pour accueillir son C-CoEN. Trente (30) Professeurs, trois (3) Ingénieurs pédagogiques et deux (2) Spécialistes techniques ont été identifiés dans chaque université participante et sont en cours de formation. Ce projet pilote est mis en œuvre de septembre 2021 à juillet 2022.

L’objectif global est que, les centres sélectionnés puissent éventuellement servir d’autres établissements d’enseignement supérieur africains en utilisant un modèle de formation des formateurs, dans le cadre du budget plus large du projet CEA Impact et au-delà – dans toute la région de l’Afrique subsaharienne (ASS).

Du 21 au 22 septembre, les universités participantes ont pris part à des réunions visant à fournir des informations supplémentaires et à lancer les aspects opérationnels du projet. Chaque université participante a identifié et confirmé trois membres du corps enseignant qui seront formés en tant qu’experts en éducation numérique. Les stagiaires sélectionnés ont eu l’occasion de se familiariser avec la plateforme de formation Open edX et les supports de formation pendant la semaine de préparation.

Le premier atelier pour les participants anglophones a eu lieu du 4 au 15 octobre 2021. Le premier atelier pour les participants francophones se déroule du 18 au 29 octobre 2021.

La formation est dispensée de manière innovante en utilisant l’approche de la classe inversée. Le matériel et les activités pédagogiques de qualité et engageants ont été préparés en avance et mis à disposition sur le plateforme Open edX de l’EPFL. Les participants étudient et se préparent pour des sessions en direct. Pendant les sessions virtuelles en direct, les animateurs apportent des clarifications sur le contenu et les activités d’apprentissage que les participants ont dû parcourir. Les sessions en direct sont utilisées pour construire et partager des connaissances communes par le biais d’activités de groupe, de discussions en direct et de présentations. Les participants sont également exposés et encouragés à utiliser une variété d’outils et de technologies en ligne pour interagir et mettre en pratique les paradigmes d’enseignement.

 

Informations sur les contact

Pour de plus amples informations, veuillez contacter le Dr Sylvia Mkandawire à l’adresse smkandawire@aau.org  et envoyer une copie à M. Yann Kerloch à l’adresse yann.kerloch@epfl.ch.

Informations générales

Le projet de Centres d’Excellence de l’enseignement supérieur en Afrique (CEA) est une initiative de la Banque Mondiale en collaboration avec les gouvernements des pays participants pour aider les établissements d’enseignement supérieur à se spécialiser dans les domaines des Sciences, de la Technologie, de l’Ingénierie et des Mathématiques (STEM), de l’Agriculture et de la Santé. Le projet vise à promouvoir la spécialisation régionale des universités participantes dans des domaines qui répondent à des défis communs spécifiques de développement régional. Il renforce également les capacités de ces universités à dispenser une formation et une recherche appliquée de haute qualité et à répondre à la demande de compétences nécessaires au développement de l’Afrique. Sur la base des premiers succès, la Banque mondiale et l’Agence Française de Développement (AFD), en collaboration avec les gouvernements africains, ont lancé en 2018 le projet CEA Impact pour renforcer la formation post-universitaire et la recherche appliquée dans les domaines existants et soutenir de nouveaux domaines essentiels à la croissance économique de l’Afrique. Il existe 43 CEA (25 nouveaux et 18 issus du CEA 1); 5 centres émergents; l centre  » top up  » en gestion des risques sociaux; et 5 collèges et écoles d’ingénieurs.

A propos de I’Association des Universités Africaines (AUA)

L’Association des Universités Africaines est une organisation internationale non-gouvernementale à but non-lucratif créée par des universités africaines pour promouvoir la coopération entre elles d’une part, et entre elles et la communauté universitaire internationale d’autre part. Créée en 1967, I’AUA est la voix de l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA vise à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur africain et à renforcer sa contribution au développement de l’Afrique en soutenant les fonctions essentielles des établissements d’enseignement supérieur et en facilitant la réflexion critique et la recherche de consensus sur les questions qui touchent l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA est l’unité de facilitation régionale du projet des Centres d’excellence africains.

À propos du Groupe de la Banque Mondiale

Le Groupe de la Banque mondiale est une institution multilatérale de développement qui oeuvre à la réduction de la pauvreté. Sa filiale AID (l’Association Internationale de Développement) finance la série de projets des Centres d’Excellence d’Afrique. Créée en 1960, l’AID aide les pays les plus pauvres du monde en accordant des subventions et des prêts à taux d’intérêt faible ou nul pour des projets et des programmes qui stimulent la croissance économique, réduisent la pauvreté et améliorent la vie des pauvres. L’AID est l’une des plus importantes sources d’aide pour les 75 pays les plus pauvres du monde, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’AID apportent des changements positifs aux 1,5 milliard de personnes qui vivent dans les pays AID. Depuis 1960, l’AID a soutenu des travaux de développement dans 113 pays. Les engagements annuels se sont élevés en moyenne à environ 18 milliards de dollars au cours des trois dernières années, dont environ 54 % pour l’Afrique.

À propos de l’EPFL (École Polytechnique Fédérale de Lausanne)

L’EPFL est l’université technique la plus cosmopolite d’Europe. Ses étudiants, ses professeurs et son personnel proviennent de plus de 120 nations. Fondée en 1853, l’École Spéciale de Lausanne a été rebaptisée École Polytechnique Fédérale de Lausanne en 1969. L’EPFL est une institution de recherche intensive spécialisée dans les sciences, les technologies et l’ingénierie, avec un accent particulier sur les sciences de la vie et les sciences numériques. C’est l’une des deux écoles Polytechniques fédérales suisses, et elle a trois missions principales : l’éducation, la recherche et le transfert de technologie. L’EPFL est une université technologique bilingue (Français-Anglais) située sur les rives du lac Léman à Lausanne (Suisse). L’EPFL collabore avec un vaste réseau de partenaires, dont d’autres universités et instituts technologiques, des écoles secondaires et des collèges, l’industrie et l’économie, les milieux politiques et le grand public, afin d’avoir un impact réel sur la société.

 

 

COMMUNIOUÉ DE COMMUPRESSE

Pour diffusion immédiate 9 juillet 2021

L’AUA et l’EPFL lancent l’Initiative des Centres de Compétences en Éducation Numérique

Accra, Ghana, 9 juillet 2021 – L’Association des Universités Africaines, dans le cadre du Projet des Centres d’Excellence de l’Enseignement Supérieur Africains pour l’Impact sur le Développement (CEA Impact), en collaboration avec l’EPFL – École polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse), a lancé l’Initiative des Centres de Compétence en Éducation Numérique (C-CoDE). L’AUA, en tant qu’unité de facilitation régionale du projet CEA Impact, utilise une partie de sa subvention régionale de l’Association Internationale de Développement (AD) de la Banque Mondiale pour financer les activités de cette initiative. L’EPFL, une université de technologie de classe mondiale en Suisse, est également un leader dans l’éducation numérique.

Six (6) universités d’accueil CEA Impact seront sélectionnées par concours et soutenues pour se renforcer et établir des centres de compétence en éducation numérique sur leurs campus afin de promouvoir l’intégration durable de l’éducation numérique dans les processus d’enseignement, comme moyen de renforcer la qualité de l’enseignement ainsi que les compétences des diplômés. L’initiative pilote fournira aux institutions participantes la formation et l’accompagnement nécessaires pour transformer leurs programmes d’enseignement en intégrant des méthodes modernes d’éducation numérique. Chaque université sélectionnée engagera une partie du financement de son (ses) projet(s) CEA Impact pour l’acquisition de l’équipement et des locaux nécessaires pour accueillir son C-CoDE. 30 professeurs, 3 ingénieurs pédagogiques et 2 spécialistes techniques seront formés dans chaque centre d’ici la fin du projet. Le projet pilote sera mis en oeuvre de septembre 2021 à juillet 2022.

Les centres sélectionnés contribueront à la conception, à la production et à la diffusion de cours en ligne ouverts et massifs (MOOC) et de Ressources Éducatives Libres (REL). L’objectif général est que les centres sélectionnés puissent servir d’autres institutions africaines en utilisant un modèle de formation des formateurs, dans le cadre du portefeuille de projets CEA Impact et au-delà, dans toute la région de l’Afrique Sub-Saharienne (ASS).

Note aux rédacteurs

Pour de plus amples informations, veuillez contacter le Dr Sylvia Mkandawire à l’adresse smkandawire@aau.org et envoyer une copie à M. Yann Kerloch à l’adresse yann.kerloch@epfl.ch.

Informations générales

Le projet de Centres d’Excellence de l’enseignement supérieur en Afrique (CEA) est une initiative de la Banque Mondiale en collaboration avec les gouvernements des pays participants pour aider les établissements d’enseignement supérieur à se spécialiser dans les domaines des Sciences, de la Technologie, de l’Ingénierie et des Mathématiques (STEM), de l’Agriculture et de la Santé. Le projet vise à promouvoir la spécialisation régionale des universités participantes dans des domaines qui répondent à des défis communs spécifiques de développement régional. Il renforce également les capacités de ces universités à dispenser une formation et une recherche appliquée de haute qualité et à répondre à la demande de compétences nécessaires au développement de l’Afrique. Sur la base des premiers succès, la Banque mondiale et l’Agence française de développement (AFD), en collaboration avec les gouvernements africains, ont lancé en 2018 le projet CEA Impact pour renforcer la formation post-universitaire et la recherche appliquée dans les domaines existants et soutenir de nouveaux domaines essentiels à la croissance économique de l’Afrique. Il existe 43 CEA (25 nouveaux et 18 issus du CEA 1); 5 centres émergents;l centre  » top up  » en gestion des risques sociaux; et 5 collèges et écoles d’ingénieurs.

A propos de I’Association des Universités Africaines (AUA)

L’Association des Universités Africaines est une organisation internationale non gouvernementale à but non lucratif créée par des universités africaines pour promouvoir la coopération entre elles d’une part, et entre elles et la communauté universitaire internationale d’autre part. Créée en 1967, I’AUA est la voix de l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA vise à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur africain et à renforcer sa contribution au développement de l’Afrique en soutenant les fonctions essentielles des établissements d’enseignement supérieur et en facilitant la réflexion critique et la recherche de consensus sur les questions qui touchent l’enseignement supérieur en Afrique. L’AUA est l’unité de facilitation régionale du projet des Centres d’excellence africains.

À propos du Groupe de la Banque Mondiale

Le Groupe de la Banque mondiale est une institution multilatérale de développement qui oeuvre à la réduction de la pauvreté. Sa filiale AID (l’Association Internationale de Développement) finance la série de projets des Centres d’excellence pour l’Afrique. Créée en 1960, l’AID aide les pays les plus pauvres du monde en accordant des subventions et des prêts à taux d’intérêt faible ou nul pour des projets et des programmes qui stimulent la croissance économique, réduisent la pauvreté et améliorent la vie des pauvres. L’ AID est l’une des plus importantes sources d’aide pour les 75 pays les plus pauvres du monde, dont 39 se trouvent en Afrique. Les ressources de l’AID apportent des changements positifs aux 1,5 milliard de personnes qui vivent dans les pays AID. Depuis 1960, l’AID a soutenu des travaux de développement dans 113 pays. Les engagements annuels se sont élevés en moyenne à environ 18 milliards de dollars au cours des trois dernières années, dont environ 54 % pour l’Afrique.

A propos de l’Agence Française de Développement

Depuis plus de 75 ans, l’Agence Française de Développement (AFD) lutte contre la pauvreté dans le monde en soutenant des politiques et des investissements qui bénéficient aux populations les plus démunies. Le renforcement du lien social entre les individus, les groupes et les territoires est désormais au coeur de ses actions en matière d’éducation, de santé, d’emploi, d’urbanisme, de climat ou de biodiversité. Pour l’AFD, le développement équilibré passe par une réelle réduction des inégalités.

À propos de l’EPFL (École polytechnique fédérale de Lausanne)

L’EPFL est l’université technique la plus cosmopolite d’Europe. Ses étudiants, ses professeurs et son personnel proviennent de plus de 120 nations. Fondée en 1853, l’École Spéciale de Lausanne a été rebaptisée École polytechnique fédérale de Lausanne en 1969. L’EPFL est une institution de recherche intensive spécialisée dans les sciences, les technologies et l’ingénierie, avec un accent particulier sur les sciences de la vie et les sciences numériques. C’est l’une des deux écoles polytechniques fédérales suisses, et elle a trois missions principales : l’éducation, la recherche et le transfert de technologie. L’EPFL est une université technologique bilingue (Français-Anglais) située sur les rives du lac Léman à Lausanne (Suisse). L’EPFL collabore avec un vaste réseau de partenaires, dont d’autres universités et instituts technologiques, des écoles secondaires et des collèges, l’industrie et l’économie, les milieux politiques et le grand public, afin d’avoir un impact réel sur la société.

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